mardi 5 avril 2011

   

Michel Martelly vainqueur de la présidentielle haïtienne

Le chanteur populaire a remporté le scrutin avec plus de 67 % des voix.

Michel Martelly, 50 ans, est une star de la musique. © Thony Belizaire / AFP
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Source Reuters
Le chanteur populaire Michel Martelly a remporté l'élection présidentielle haïtienne avec 67,57 % des voix, a annoncé lundi le conseil électoral provisoire. Le second tour du scrutin, qui s'est déroulé le 20 mars, l'a opposé à l'ancienne première dame Mirlande Manigat, âgée de 70 ans. Il a été marqué par une forte participation. L'annonce du résultat, qui ne deviendra définitif qu'après l'examen d'éventuelles contestations, a été suivie de scènes de liesse dans les rues de Port-au-Prince. "Nous allons oeuvrer pour tous les Haïtiens. Ensemble, nous pouvons y arriver", a déclaré le président élu sur son compte Twitter.
La longue attente de l'issue de ce second tour sans précédent dans l'histoire haïtienne a fait craindre une reprise des troubles. Le premier tour, le 28 novembre dernier, avait été marqué par des accusations de fraude et des manifestations parfois émaillées de violences. Âgé de 50 ans, "Sweet Micky" est un musicien très connu, star du Kompa qui mêle les rythmes afros et latinos. Parfois fantasque et provocateur sur scène, ce néophyte en politique a attiré des foules importantes à ses meetings, notamment parmi les jeunes. Le futur chef de l'État est issu du parti Repons Peyizan, dont le message aux accents populistes et anti-establishment prône la justice sociale, ce qui a un grand retentissement dans la population, surtout après le séisme dévastateur du 12 janvier 2010.
"Rejet de la classe politique"
Michel Martelly a dénoncé le coût de l'opération de maintien de la paix de l'ONU, affirmant que les Haïtiens devaient "mettre eux-mêmes de l'ordre dans leur maison". Lié par le passé à des hommes politiques et des militaires locaux, il n'a toutefois pas ménagé l'équipe sortante du président René Préval. "La victoire de Martelly traduit un rejet de la classe politique, aussi bien pour la majorité que pour l'opposition", a commenté Robert Fatton, professeur de sciences politiques à l'université de Virginie et spécialiste d'Haïti. "Martelly a su saisir l'état d'esprit des électeurs en exploitant intelligemment son image de mauvais garçon pour se présenter comme l'outsider ultime qui symbolise le changement", a-t-il ajouté.
Michel Martelly, issue de la moyenne bourgeoisie haïtienne, a suivi des études en Haïti et aux États-Unis. Parmi ses partisans figure la star du hip-hop Wyclef Jean, qui voulait, lui aussi, se présenter à la présidentielle mais a été déclaré inéligible. En tant que chef de l'État, "Sweet Micky" aura la lourde tâche de reconstruire la capitale, dévastée par le séisme qui a fait 316 000 morts. Organisé alors que le pays se remettait à peine du tremblement de terre, le premier tour de la présidentielle s'est déroulé dans la plus grande confusion. Accusations de fraude et manifestations de rue ont suivi le scrutin. D'après les résultats préliminaires, le second tour devait opposer le candidat du pouvoir Jude Célestin à Mirlande Manigat, mais une mission d'experts de l'Organisation des États américains (OEA) a jugé que le premier devait être écarté au profit de Michel Martelly, initialement donné en troisième place avec 7 000 voix de retard.

lundi 4 avril 2011

Radio-Canada
International
 
Michel Martelly serait le vainqueur de l'élection présidentielle en Haïti

 

 

Michel Martelly
Photo: AFP/Thony Belizaire
Michel Martelly

Michel Martelly a remporté le deuxième tour de l'élection présidentielle haïtienne, qui a eu lieu le 20 mars, selon un responsable du Conseil électoral provisoire cité par l'agence Reuters.
Les résultats préliminaires du deuxième tour doivent être divulgués un peu plus tard lundi.
Le chanteur populaire Michel Martelly, favori des sondages, s'opposait à l'ancienne première dame, Mirlande Manigat. Selon un administrateur du Conseil électoral, M. Martelly aurait obtenu près de trois fois plus de votes que sa rivale.
Les Haïtiens craignent que des violences n'éclatent à la suite de l'annonce des résultats, comme cela avait été le cas à l'issue du premier tour. Les manifestations, qui avaient fait plusieurs morts, avaient forcé les autorités à revoir les résultats et à réintégrer Michel Martelly dans la course, au détriment du candidat du pouvoir, Jude Célestin.
Lundi, des policiers et des soldats des Nations unies ont été déployés dans les rues du pays pour empêcher tout débordement. Plusieurs commerces ont barricadé leur vitrine en prévision de l'annonce des résultats du vote. Dans les derniers jours, de nombreux Haïtiens se sont rués dans les supermarchés et les banques, à Port-au-Prince, pour faire des provisions.

Les candidats Mirlande Manigat et Michel Martelly
Photo: AFP/Thony Belizaire
Les candidats Mirlande Manigat et Michel Martelly

Initialement, les résultats préliminaires devaient être annoncés le 31 mars, mais des fraudes et des irrégularités massives ont forcé les autorités à repousser cette date, le temps d'écarter les procès-verbaux irréguliers.
Depuis le vote, les deux camps ont respectivement annoncé leur victoire, au mépris de l'Organisation des États américains qui recommandait d'attendre les résultats officiels pour ne pas nuire au bon déroulement du processus électoral.
Les résultats définitifs de la présidentielle devraient être dévoilés le 16 avril.
Sources: Radio-Canada.ca avecAgence France Presse et Associated Press

jeudi 10 mars 2011

Libye : revivez la 22e journée de mobilisation


Par Europe 1.fr avec François Clauss, envoyé spécial d'Europe 1 en Libye, et agences
Publié le 8 mars 2011 à 08h45 Mis à jour le 9 mars 2011 à 10h17
Les insurgés libyens auraient refusé l'offre de retrait du colonel Kadhafi
Les insurgés libyens auraient refusé l'offre de retrait du colonel Kadhafi © REUTERS
Europe1.fr vous a fait vivre les principaux événement de la journée.
Alors que le dirigeant libyen aurait proposé aux rebelles de négocier son départ sous certaines conditions, les bombardements se sont poursuivis mardi sur l'Est de la Libye, et dans l'Ouest, à Zawiyah. De son côté, la communauté internationale envisage l'éventualité d'opérations militaires. Londres et Washington se sont prononcés en fin de journée pour l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne, mais veulent que la décision vienne des Nations Unies.
22h25 : Hillary Clinton en faveur d'une zone d'exclusion aérienne. Selon la secrétaire d'Etat américaine, l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne en Libye ne doit pas être une initiative dirigée par les Etats-Unis. "Nous voulons voir la communauté internationale la soutenir", a ainsi déclaré Hillary Clinton sur Sky News. "Je pense qu'il est très important que ce ne soit pas une initiative américaine parce que cela vient de la population libyenne elle-même. Cela ne vient pas de l'extérieur, de quelques puissances occidentales ou de pays du Golfe'", a-t-elle souligné, appelant à une décision de l'ONU.
21h51 : Catherine Ashton reçoit des insurgés. La haute représentante de la diplomatie européenne a reçu mardi deux émissaires de l'opposition libyenne à Strasbourg. Mahmoud Djébril, qui dirige la cellule de crise du Conseil national libyen mis sur pied par les insurgés, et Ali Essaoui ministre des Affaires étrangères de ce gouvernement parallèle, doivent prendre la parole mercredi devant le Parlement européen. Rien n'a filtré de leur entretien avec Catherine Ashton.
21h00 : Londres et Washington envisagent la mise en place d'une zone d'exclusion aérienne. Barack Obama et David Cameron ont évoqué au téléphone mardi "toute la gamme" des mesures possibles face aux violences en Libye, a annoncé la Maison Blanche. A ce titre, les deux dirigeants ont réfléchi à la possibilité d'imposer une zone d'exclusion aérienne, afin de protéger les civils des assauts commandés par le colonel Kadhafi. Cette option avait été envisagée lundi par les monarchies du Golfe ainsi que par Londres et Paris.
20h30 : Assaut sur Zawiyah. Mourad Hemayma, un responsable libyen qui a fait défection, et devenu porte-parole des rebelles, a appelé la communauté internationale à agir, après un assaut ordonné par Mouammar Kadhafi sur la ville de Zawiyah, à l'ouest de Tripoli. "La situation est très critique à Zawiyah. (La ville) est investie et bombardée au quotidien par des soldats", a-t-il témoigné. "Nous savons qu'il y a des milices dans chaque rue. Nous savons qu'ils planifient de prendre la ville avant mercredi", a ajouté Mourad Hemayma.
19h05 : Nicolas Sarkozy recevra mercredi Herman Van Rompuy, président du Conseil européen, pour préparer le Conseil européen extraordinaire de vendredi, a indiqué l'Elysée mardi dans un communiqué. Les Vingt-Sept doivent notamment examiner la situation en Libye et en Méditerranée. L'Union européenne veut définir une réponse commune aux bouleversements en Libye et en Afrique du Nord, aider les pays concernés et se préparer à un éventuel afflux de réfugiés.
17h11 : Paris réaffirme sa disponibilité pour neutraliser les moyens aériens libyens. La France est disponible pour neutraliser, avec d'autres, les avions militaires libyens, mais pas au sein de l'Otan, déclare à l'Assemblée nationale le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, en promettant des "propositions fortes" vendredi lors d'un sommet européen.
16h10 : 70 tonnes de dattes en route pour Benghazi. Un convoi routier du Programme alimentaire mondial (Pam) transportant des vivres devrait arriver mardi à Benghazi, en provenance d'Egypte. Ce sera la première assitance alimentaire acheminée par les Nations unies depuis le début de la révolte.
15h40 : Pilonnage intensif à l'ouest de Ras Lanouf. Un journaliste de l'AFP a entendu ce pilonnage, près du port pétrolier, base la plus avancée des insurgés à l'Est. Les rebelles ont dit que les troupes gouvernementales avaient déversé un déluge de feu à l'ouest de Ras Lanouf.
15h05 : Ultimatum des insurgés à Kadhafi. "S'il quitte la Libye dans les 72 heures et met un terme aux bombardements, nous nous abstiendrons de le poursuivre pour crimes", a déclaré à Al Djazira Moustafa Abdeldjeïl, ancien ministre de la Justice passé dans le camp des insurgés.
Reportage de François Clauss, envoyé spécial d'Europe 1 en Libye. Les insurgés considèrent que le départ négocié de Kadhafi serait une "insulte à tous les martyrs" :


14h45 : Le gouvernement libyen suggère à l'UE une enquête indépendante. Ahmed Jarrod, directeur des affaires européennes au ministère libyen des Affaires étrangères, a fait savoir à l'Union européenne que Tripoli autoriserait l'ouverture d'une enquête indépendante sur les allégations de violations des droits de l'homme lors du soulèvement contre le régime de Kadhafi, a annoncé mardi un haut responsable des Vingt-Sept.
14h30 : Le médecin arrêté ne fait pas partie de MSF. Médecins sans frontières a démenti que ce médecin jordanien, emmené sous la menace d'une arme d'un hôtel de Benghazi, fasse partie de son personnel.
14h20 : L'UE va décréter de nouvelles sanctions, visant notamment un fonds souverain et la banque centrale libyenne. Les Vingt-Sept se sont mis d'accord mardi.
14h06 : Un médecin jordanien de MSF enlevé. Un médecin jordanien travaillant pour l'ONG Médecins sans Frontières a été emmené mardi de son hôtel de Benghazi par des hommes en uniforme militaire, ont rapporté ses collègues. On ignore l'idendité des individus qui ont emmené le Dr Mohamed Nayef.
13h48 : Réunion vendredi des ministres de la Ligue arabe. Les ministres des Affaires étrangères des pays de la Ligue arabe se réuniront vendredi au Caire pour faire le point de la situation en Libye, a annoncé mardi un responsable de l'organisation panarabe.
12h36 : Un raid aérien à Ras Lanouf. Un avion a bombardé mardi un immeuble d'habitation de deux étages près du port pétrolier de Ras Lanouf, base la plus avancée de l'opposition dans l'Est libyen, soufflant la façade du rez-de-chaussée.
12h13 : Deux Tunisiens morts. Deux Tunisiens ont trouvé la mort dans les troubles en Libye, secouée par un mouvement insurrectionnel depuis trois semaines, a annoncé mardi un haut responsable des Affaires étrangères mardi.
12h04 : Gel de comptes libyens suspects au Luxembourg. Deux comptes libyens ont été gelés dans des banques à Luxembourg pour un montant de moins d¹un milliard d¹euros, a annoncé le ministre des Finances, Luc Frieden. Les avoirs identifiés au Luxembourg ne sont pas directement rattachés à Muammar Kadhafi ni à sa proche famille, selon le ministre.
11h52 : Les forces libyennes pilonnent Zaouïah. L'armée de Mouammar Kadhafi a encerclé mardi Zaouïah et a pilonné à l'artillerie cette ville située à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Tripoli, a rapporté la chaîne de télévision Al Djazira.
11h45 : Le gouvernement libyen dément l'offre de négociations de Kadhafi. L'opposition avait confirmé mardi que le dirigeant libyen leur avait proposé de partir en échange de garanties sur sa sécurité.
11h36 : Deux représentants de l'opposition libyenne au Parlement européen. Mahmoud Jebril, 58 ans, ancien ministre du Plan et Ali-Al-Isawi, 45 ans, ancien ambassadeur de Libye en Inde ont été invités mardi à Strasbourg par le président du groupe Libéral Guy Verhofstadt. Un entretien est aussi prévu mercredi avec le chef de la diplomatie française Alain Juppé.
11h10 : Ligne de front statique entre Ras Lanouf et Ben Jawad. Les forces de Mouammar Kadhafi et les rebelles libyens se font face sur la route côtière du golfe de Syrte, dans la région de nombreux terminaux pétroliers, selon les insurgés. Les positions semblent figées depuis la veille, les rebelles contrôlant le port pétrolier de Ras Lanouf et les forces régulières la ville de Ben Jawad.
10h32 : Zenten, au sud de Tripoli, aux mains de l'opposition, selon un témoin français. L'opposition libyenne contrôlait mardi cette ville située à 120 km au sud-ouest de Tripoli, mais les forces pro-Kadhafi étaient déployés autour de la ville, selon un Français joint par téléphone.
10h25 : Rome va évacuer 600 Bangladais. L'Italie va rapatrier par deux vols de la compagnie nationale Alitalia environ 600 ressortissants du Bangladesh qui ont fui les combats en Libye pour se réfugier en Tunisie. 14.000 citoyens du Bangladesh sont bloqués à la frontière entre la Tunisie et la Libye.
10h10 : Pas de victime lors du raid à Ras Lanouf. Le missile a explosé près de l'autoroute, à environ 100 mètres de quelques maisons à la lisière de cette ville contrôlée depuis vendredi par les insurgés. Il n'y a eu ni victime ni dégâts, seulement un énorme cratère au sol. Selon des témoins, une attaque similaire avait déjà eu lieu une heure plus tôt dans la même zone.
10h05 : Les rebelles refusent de négocier le départ de Kadhafi. Le Conseil national libyen a bien rejeté l'offre de négociations du colonel Kadhafi, a confirmé mardi matin le porte-parole du Conseil formé par les insurgés.
09h44 : Les insurgés prêts à faire un pas vers Kadhafi selon Al Djazira. Le chef du conseil national des insurgés libyens dit que les rebelles pourraient ne pas poursuivre Kadhafi en justice s'il démissionne.
09h40 : Libye: un raid aérien vise des insurgés à l'est de Ras Lanouf. Un avion de chasse a mené une attaque mardi dans le désert, provoquant un énorme nuage de fumée grise, à l'est du port pétrolier de Ras Lanouf, base la plus avancée de l'opposition dans l'Est libyen
09h20 : Le chef de l'OCI pour une "no fly zone". L'Organisation de la conférence islamique (OCI), Ekmeleddin Ihsanoglu, s'est déclaré mardi favorable à l'établissement d'une zone d'exclusion aérienne en Libye, lors d'une réunion consacrée à la situation dans ce pays.
08h30 : L'est de la Libye menacé par une pénurie de carburant. D'ici une semaine, les raffineries de la région auront cessé leurs activités, selon le journal Gulf News.
08h00 : Kadhafi proposerait de se retirer avec des garanties. Le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi a proposé aux insurgés de réunir le Congrès général du peuple, qui fait office de parlement, pour qu'il puisse se retirer avec des garanties, mais son offre a été rejetée, annonce Al Djazira.

dimanche 27 février 2011

Une Haïtienne de 115 ans immigre au Canada

LEMONDE | 21.02.11 | 15h00  •  Mis à jour le 21.02.11 | 15h01
 
 
Montréal Correspondance - Cicilia Laurent a dignement fêté ses 115 ans dans sa patrie d'adoption, le Canada, quelques jours après avoir officiellement reçu, fin janvier, en un temps record, son statut de résidente permanente. Cette Haïtienne est non seulement l'immigrante la plus âgée que le Canada ait jamais reçue, mais elle va aussi lui permettre de revendiquer le titre de pays hôte de la doyenne du monde !

Brésil : Elle retrouve son fils de 3 ans dans sa maison avec un crocodile

Brésil : Elle retrouve son fils de 3 ans dans sa maison avec un crocodile (Vu sur Yahoo.fr)

Jeudi 24 février, 12h27
Au Brésil, une mère a retrouvé son enfant de 3 ans qui caressait un alligator derrière son canapé après une inondation dans la région. Lire la suite l'article

Dans le sud-est du Brésil, à Parauapebas, une mère s'est retrouvée face à son enfant de 3 ans en train de caresser un crocodile. Après les fortes pluies tombées la région, l'animal d'1,50 mètre environ s'était introduit dans la maison. Il se trouvait derrière le canapé et laissait l'enfant jouer avec lui. La mère, bien que paniquée, a réussi à attraper son fils. Elle a ensuite appelé les secours pour récupérer l'animal.
Cet enfant a donc échappé au pire grâce à la vitesse de réaction de la mère. Mais pour les pompiers qui se sont déplacés sur les lieux, l'enfant a surtout eu beaucoup de chance. Pour le capitaine Luiz Claudio Farias, le chef des pompiers, la seule raison pour laquelle l'alligator ne s'en est pas pris immédiatement à l'enfant, c'est parce que le reptile n'était pas affamé. Selon lui, dans le cas contraire, l'animal aurait pu blesser voire tuer le jeune garçon, rapporte la BBC News.
Il est d'ailleurs très courant que des crocodiles et des serpents s'introduisent dans les maisons qui sont près des rivières et de la forêt tropicale. L'animal a été relâché dans une zone située loin des habitations.  

  Beauté Parfum, eau de parfum et eau de toilette : quelle est la différence entre ces fragrances ?   par  Virginie Incerto Crédits photos :...