mardi 30 décembre 2014



Barça : Martino tourne casaque pour encenser le Real et adouber Varane

Par Maxime Deloffre -

Ephémère entraîneur du FC Barcelone la saison passée, Tata Martino n'a semble-t-il pas pleinement adopté la culture catalane. Désormais sélectionneur de l'Argentine, l'homme de 52 ans a avoué être épris de la défense du Real Madrid, notamment du jeune Raphaël Varane...

Barça : Martino tourne casaque pour encenser le Real et adouber Varane
Tata Martino a réglé quelques comptes au Barça.
Une saison longue comme un jour sans pain. Avec une seule Supercoupe d'Espagne glanée en 2013-14, Tata Martino ne laissera pas un souvenir intarissable au FC Barcelone. Mais avant de tourner la page, l'Argentin a tenu à se délecter de son coup de l'étrier. Et tant pis pour les dommages collatéraux.

Des mensonges en série
«A Barcelone, on n'a jamais reconnu ce que j'essayais d'apporter» , a-t-il d'abord tempêté dans un entretien relayé par El Mundo Deportivo. Ca a été une belle expérience. Cela m'a servi pour tirer les bonnes conclusions pour le travail que je fais maintenant.» Et comme le disait Balazac (excusez), «l'expérience s'achète par le malheur» . Martino ne déroge pas à la règle.
«Tu dois apprendre à vivre avec de grandes figures. Et tu dois aussi vivre avec le fait que le plus petit des événements est une information, même si c'est un mensonge. Et je ne suis pas sûr qu'en Argentine on fasse des informations avec des mensonges.» L'éclair est lancé. Mais si le FC Barcelone encaisse bien les critiques, il aime en revanche beaucoup moins être comparé avec son rival…

Varane a conquis Tata
Car de son passage en Espagne, Martino retient une image d'un Real Madrid plus solide. «Je vais te dire qui j'aime bien en Espagne, et je pense que c'est le grand secret qui explique pourquoi il y a une équipe qui marche si bien. J'aime beaucoup les trois défenseurs centraux du Real Madrid. J'ai la sensation que n'importe qui peut marquer, mais la défense est essentielle.»
Et à ce petit jeu, le sélectionneur de l'Albiceleste a même son favori. Et il ne s'agit ni de Pepe ni de Sergio Ramos. «Varane est le troisième ? C'est le meilleur de tous !» , s'est-il exclamé. En attendant, l'ancien Lensois demeure remplaçant sous les ordres de Carlo Ancelotti, en attendant son heure… Avec de tels propos, Martino risque de ne plus longtemps être sous l'égide catalane…

vendredi 26 décembre 2014

Chelsea : Drogba n'avait pas besoin de ça...

 

Marié à Lalla Diakité et père de trois enfants, Didier Drogba (36 ans, 13 apparitions et 3 buts en Premier League cette saison) est soupçonné par la presse anglaise et néerlandaise d'avoir eu une relation avec miss Pays-Bas, Tatjana Maul.
"Je suis de nouveau célibataire. C'était compliqué. C'est un footballeur, je l'aime toujours. Tout le monde le connait. Il joue pour Chelsea, mais je n'en dirai pas plus", a lancé la belle à la radio FunX.
Drogba l'aurait rencontrée à Londres il y a quelques semaines, lors de l'élection Miss Monde. Des révélations qui tombent mal, à l'heure de passer les fêtes de fin d'année en famille...


Tatjana Maul

 
 par Nicolas Lagavardan

Afrique du Sud : une cinquième femme pour Jacob Zuma ?

Le président polygame sud-africain, qui a vingt enfants et s'est déjà marié six fois, pourrait prendre une nouvelle épouse. Au grand dam des contribuables. 

 


Jacob Zuma et sa quatrième épouse, Gloria Bongi Ngema.
 
Jacob Zuma et sa quatrième épouse, Gloria Bongi Ngema. © AFP

Le président sud-africain Jacob Zuma, 72 ans, a laissé entendre qu'il pourrait épouser une cinquième femme pour l'accompagner pendant ses vieux jours, a rapporté le quotidien The Star mercredi. En visite mardi dans un township de Durban, dans sa province natale du KwaZulu-Natal (est), le président polygame a déclaré en zoulou à l'assistance "Angakayakhi indlu yokugugela... laba ngisabathathile nje", c'est-à-dire "J'ai des femmes, mais il me faut encore épouser la dernière".
Cette déclaration a été accueillie par des applaudissements, des rires et des youyous dans l'assistance, essentiellement composée de personnes âgées, a raconté The Star. Avant de faire cette confidence, d'humeur badine selon le journal de Johannesburg, Jacob Zuma avait insisté dans un discours sur le rôle des personnes âgées dans la société et la nécessité de les aimer et de les respecter.

Six mariages, vingt enfants

Selon Sihawu Ngubane, professeur à l'université du KwaZulu-Natal cité par The Star, il est assez courant dans la culture zouloue que des hommes polygames prennent une dernière femme, parfois la jeune soeur d'une des épouses, sur leurs vieux jours. "La responsabilité de s'occuper du mari pendant ses vieux jours incombe surtout à la dernière épouse, qui est souvent plus jeune que les autres femmes et est plus agile en cas d'urgence", a-t-il relevé.
Jacob Zuma, qui a une vingtaine d'enfants, s'est marié six fois. Il a actuellement quatre épouses entretenues par l'État, au grand dam de certains contribuables sud-africains qui estiment que la somme consacrée au(x) conjoint(s) du chef de l'État devrait être forfaitaire.
Il a notamment été marié avec Nkosazana Dlamini-Zuma, ancienne ministre et actuelle présidente de la Commission de l'Union africaine, dont il a divorcé en 1998. Le président sud-africain, qui a été hospitalisé en juin pour surmenage et a beaucoup maigri ces derniers temps, a affirmé dimanche qu'il allait désormais "parfaitement bien", évoquant un simple "coup de fatigue" lié à la campagne des élections générales qu'il a remportées en mai.

mardi 23 décembre 2014

Mercato - Real Madrid : Un ancien entraîneur du Bayern Munich envoie un message fort à Marco Reus !

Marco Reus avec le Borussia Dortmund

Alors que le Real Madrid vient de remporter le deuxième trophée de sa saison, le mercato hivernal devrait être agité alors que Carlo Ancelotti a plusieurs cibles dans le viseur. La piste menant à Marco Reus est toujours active.

Tandis qu’il dispose d’une clause libératoire d’environ 25 millions d’euros, Marco Reus est courtisé par tous les plus grands clubs européens, notamment le Bayern Munich, Chelsea et le Real Madrid. C’est justement du côté de la première équipe citée qu’une réaction à la situation de Reus s’est faite entendre.

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« JE LUI RECOMMANDERAIS D’ALLER AU REAL MADRID ! »
Jupp Heynckes, l’ancien technicien du Bayern Munich, s’est penché sur le cas de Marco Reus, n’hésitant pas à l’envoyer du côté de Madrid, plutôt qu’au Bayern Munich : « Je lui recommanderais d’aller à Madrid. Le Bayern Munich a déjà quatre ou cinq joueurs de classe mondiale devant. Où jouerait Reus ? S’il dispose vraiment d’une clause de 25 millions d’euros, toutes les grandes équipes d’Europe devraient tout faire pour s’attirer les services de Reus », a-t-il affirmé dans des propos repris par AS.

« IL DEVRAIT ÊTRE MIEUX CONSEILLÉ »
Mis au courant de l’attitude dangereuse du joueur au volant d’une voiture, Jupp Heynckes n’y est pas allé par quatre chemins afin de qualifier le comportement de l’Allemand : « Arrêté six fois sans permis de conduire ? C’est complètement incompréhensible. Il n’y a aucune excuse. Il devrait être mieux conseillé. » En attendant, Marco Reus se soigne et réfléchit à toutes les options qui s’offrent à lui.
le10sport.com

La Chine propose son aide à la Russie

Chine Russie
 
Les dirigeants chinois et russe, Xi Jinping et Vladimir Poutine - © Mikhail Metzel - Ria Novosti - AFP

Pékin est tout disposé à fournir son aide à la Russie si nécessaire, a déclaré le ministre chinois des Affaires étrangères dont les propos étaient relayés ce lundi par les médias officiels.

L'expérience de Josh Paler Lin, un jeune Américain qui possède sa chaîne sur YouTube, comptabilise déjà près de deux millions de vues, au lendemain de sa publication sur la plate-forme, lundi 22 décembre. Le jeune homme a donné un billet de 100 dollars à un sans-abri. Puis il l'a suivi discrètement, pour voir comment l'homme allait dépenser cet argent.

"Il y a des choses qui ne s'achètent pas"

Toute la séquence a été filmée par Josh Paler Lin. Le sans-abri entre dans une supérette, achète de la nourriture et entreprend de la distribuer à d'autres SDF. Après quelques minutes, Josh Paler Lin le rejoint et engage à nouveau la discussion. "Il y a des choses qui ne s'achètent pas et je reçois un vrai bonheur dans ce que je fais", explique le SDF lorsqu'on lui demande les raisons de son geste.
Il raconte son parcours chaotique qui l'a mené dans la rue, sans rien pour vivre : des parents gravement malades, tous deux morts récemment. "Plein de circonstances peuvent jeter les gens à la rue. Ça peut être un divorce, on perd sa maison, et ainsi de suite… Il y a beaucoup de gens bien parmi les SDF", conclut le sans-abri, qui reçoit 100 dollars de plus de la part de Josh Paler Lin : "Je lui ai donné mon numéro et lui ai dit de m'appeler quand il a besoin d'aide", précise le jeune homme.


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Real : un nouveau maillot de champion du monde

 

Par Pierre-Damien Lacourte

Après son titre de champion du monde des clubs conquis samedi dernier, le Real Madrid a légèrement modifié son maillot. Un écusson mentionnant le nouveau statut du club espagnol sera désormais floqué sur la poitrine des Merengue.

Le nouveau maillot de "champion du monde" du Real Madrid
 
 
 
 

Le pape François critique sévèrement « l'Alzheimer spirituel » de la curie

Le Monde.fr avec AFP, AP et Reuters

Jamais souverain pontife ne s'était permis un discours d'une telle sévérité envers sa propre maison. Le pape François a dressé, lundi 22 décembre, un « catalogue » de quinze maladies qui menacent le haut clergé, et plus particulièrement la curie (le gouvernement de l'Eglise), parmi lesquelles la mondanité, l'hyperactivité, les rivalités, les bavardages, les calomnies et la zizanie.

Dans son discours annuel de vœux aux membres de la curie (à revoir ici, en italien), prononcé dans le cadre très solennel de la salle Clémentine, au Vatican, le pape les a conviés à « un vrai examen de conscience ». Après avoir brièvement remercié cardinaux et évêques pour les services rendus dans l'année écoulée, il a estimé que, comme « tout corps humain », la curie souffrait « d'infidélités » à l'Evangile et était menacée de « maladies ».
Son diagnostic est tombé à coup de formules chocs : « L'Alzheimer spirituel », « la fossilisation mentale et spirituelle », « le cœur de pierre », « le terrorisme des bavardages », « la schizophrénie existentielle », « le narcissisme faux »« la planification d'expert-comptable », « les rivalités pour la gloire », les « faces funèbres », « l'orchestre qui émet des fausses notes »
Appelant les évêques et cardinaux à laisser « l'Esprit saint » inspirer leurs actions, il a souligné que « la guérison [était] le fruit de la prise de conscience de la maladie ».
AMABILITÉS DE FAÇADE
Il y a toujours la tentation de « se sentir immortel », a-t-il observé, proposant aux prélats d'aller dans les cimetières où « sont tant de personnes qui se considéraient indispensables », visant apparemment plusieurs cardinaux à la retraite qui demeurent au Vatican, où ils continuent d'exercer une influence. Il leur a aussi conseillé, lui qui ne prend jamais de vacances, d'éviter la « maladie » de la suractivité de ceux « qui s'enfouissent sous les dossiers ».
Certains autres « dépendent totalement de leurs passions, caprices et manies, ils se construisent des murs autour d'eux, devenant de plus en plus esclaves d'idoles », a-t-il critiqué. Il a encore dénoncé, sans jamais mentionner aucun fautif en particulier :
« Les prêtres sont comme des avions. Ils font la “une” quand ils tombent. »
Fustigeant particulièrement la calomnie, qui peut équivaloir à un « homicide de sang-froid », il a évoqué notamment le cas passé au Vatican d'« un prêtre qui appelait les journalistes pour raconter et inventer des choses privées sur ses confrères. Pour lui, ce qui comptait, c'était d'être sur la première page des journaux, et de se sentir puissant, le pauvre ! » Après ce discours reçu comme une douche froide, François a salué un à un les cardinaux, dans une ambiance lourde, malgré les amabilités de façade.
Dans l'immense salle Paul VI, le pape a ensuite innové en saluant, dans une ambiance au contraire très festive, les employés du Vatican et leurs familles, rendant hommage aux « invisibles » qui permettent au Vatican de fonctionner jour après jour.
François, qui a expliqué à plusieurs reprises qu'il se sentait quelquefois « anticlérical », a engagé depuis son élection en mars 2013 une profonde réforme de la curie, qui se heurte à de nombreuses oppositions internes et suscite de nombreuses inquiétudes. Cette réforme en cours ne devrait pas se conclure avant 2016. La fin du pontificat de Benoît XVI avait révélé l'étendue des intrigues, du carriérisme et des manœuvres dans le dos du pape.
Lire les explications (édition abonnés) : Le pape François impose un rythme accéléré de réformes

Les 15 maladies de la curie selon le pape François :

  1. Se croire immortel, immunisé ou indispensable.
  2. Trop travailler.
  3. S'endurcir spirituellement ou mentalement.
  4. Trop planifier.
  5. Travailler dans la confusion, sans coordination.
  6. « L'Alzheimer spirituel ».
  7. Céder à la rivalité ou à la vantardise.
  8. La « schizophrénie existentielle » (recourir à une double vie pour combler sa vacuité spirituelle).
  9. Le « terrorisme des ragots ».
  10. Le carriérisme et l'opportunisme.
  11. L'indifférence aux autres (par ruse ou jalousie).
  12. Avoir un « visage funéraire » (pessimisme, sévérité dans les traits).
  13. Vouloir toujours plus de biens matériels.
  14. La formation de « cercles fermés » qui se veulent plus forts que l'ensemble.
  15. La recherche du prestige (par la calomnie et la discréditation des autres).

samedi 20 décembre 2014

Coupe du monde des clubs : le Real Madrid évidemment

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Sergio Ramos fête son but face à San Lorenzo, le 20 décembre 2014. REUTERS/Youssef Boudlal
 
Le Real Madrid s’est imposé lors de la finale de la Coupe du monde des clubs de football à Marrakech contre les Argentins de San Lorenzo samedi 20 décembre (2-0). Sergio Ramos et Gareth Bale sont les deux buteurs d’une rencontre presqu'à sens unique.
De notre envoyé spécial à Marrakech, 

Fervent admirateur San Lorenzo, les prières du Pape François, qui devait être confortablement installé devant un téléviseur au Vatican, n’y ont rien fait. Encore moins les milliers de fans argentins présents dans le Grand Stade de Marrakech. Il faut avouer que la tâche était compliquée pour le club argentin qui devait faire face au rouleau compresseur madrilène et sa ribambelle de stars. Carlo Ancelotti, le coach de la « Maison blanche », avait entre autres aligné les attaquants Gareth Bale, Karim Benzema et Cristiano Ronaldo.
C’est que le Real voulait finir en beauté une année 2014 incroyable. Les Merengues ont remporté la Ligue des champions, la Supercoupe d’Europe et la Coupe du Roi. Ce quatrième titre était presque acquis, mais il fallait tout de même jouer ce match. Carlo Ancelotti l'avait lui-même proclamé à l'issue de la demi-finale remportée haut la main (4-0) face aux Mexicains de Cruz Azul : « On mérite le titre mondial. » Le tout était de savoir comment le Real, qui reste sur 21 victoires consécutives, allait s’y prendre. Ecraser d’emblée les Argentins ou laisser un peu de suspense ?

Sergio Ramos fait sauter le verrou argentin

Alors que les choses étaient très bien engagées - Karim Benzema manque une reprise seul face au but (2e)-, le Real n’a pas tué le match aussi rapidement que l’on pouvait s’y attendre, malgré une grosse possession de balle. San Lorenzo donne du fil à retordre pendant plus de trente minutes en engrangeant par la même occasion de la confiance. Il faut  attendre une tête de Sergio Ramos sur un corner de Toni Kroos pour voir le premier but madrilène (36e). Le Real Madrid fait sauter le verrou argentin sur un coup de pied arrêté. Condamnés à un hypothétique exploit, les Argentins rentrent aux vestiaires sur le score de 1-0. Bien que lauréate de la prestigieuse Copa Libertadores, l’équipe de San Lorenzo ne peut guère compter que sur un miracle en seconde période. Pour couronner le tout, le Real qui est l’un des clubs les plus populaires au Maroc a le public avec lui.
La deuxième période commençe mal pour les Matadores avec un deuxième but signé Gareth Bale. Le Gallois idéalement servi par Isco dans la surface place une frappe du pied gauche (51e). Le premier ballon cadré de San Lorenzo n’arrive qu’à la 67e minute sur une frappe croisée à ras de terre de Mas. Bien insuffisant pour déstabiliser le Real.
Sous les yeux du fils du roi Mohamed VI et de trente-huit mille personnes, le club espagnol termine donc son année sur un nouveau titre. Après trois Coupes intercontinentales, dont la dernière en 2002, le Real Madrid empoche son premier Mondial des clubs. Seul bémol, Cristiano Ronaldo n'a pas marqué sur le sol marocain. Mais le Pape François devrait être tout de même admiratif.

Madrid, au tour du monde

Sergio Ramos a ouvert la marque lors de la victoire du Real Madrid sur San Lorenzo (2-0).
 
Sergio Ramos a ouvert la marque lors de la victoire du Real Madrid sur San Lorenzo (2-0). (Reuters)
Compte-rendu
Après la Decima en mai dernier, le Real Madrid, tombeur de San Lorenzo en finale sur le score de 2-0, s'est arrogé la première Coupe du monde des clubs de son histoire ce samedi. Devant des Argentins fatigués après leur demi-finale épique, Ramos (37e) et Bale (51e) ont permis aux Merengues de s'arroger le dernier trophée de l'année 2014.
Ils avaient l'envie de bien faire mais n'ont jamais pu contester l'hégémonie du Real Madrid le temps des dernières 90 minutes de jeu de la Coupe du monde des clubs disputée au Maroc. Ce samedi, les Merengues de Carlo Ancelotti ont ainsi aligné une 22e victoire consécutive pour se rapprocher du record détenu par Coritiba au Brésil avec ses 24 succès de rang toutes compétitions confondues.
Forcément attendu devant des Sud-Américains qui avaient donc été poussés en prolongation par les Néo-Zélandais d'Auckland City (2-1) dans le dernier carré, Cristiano Ronaldo n'a pas marqué, au propre comme au figuré, ce match de son empreinte avec le club de la capitale espagnole. Même plutôt discret, le Portugais a laissé ses partenaires faire le travail. Et plutôt de belle manière puisque les coéquipiers de Yepes ou Veron n'ont pu opposer qu'une faible résistance, principalement faite d'agressivité dans les duels.

Cristiano Ronaldo zappe Platini

De leur côté, les troupes de Carlo Ancelotti ont répondu par du jeu à Marrakech, s'ouvrant même le chemin du but dès les premiers secondes, sans toutefois immédiatement concrétiser. Dans le but sud-américain, Torrico voyait déjà Benzema buter dans le gazon sur un centre-tir de Ronaldo (2e), avant que ce dernier ne trouve ses gants sur un coup franc contré seulement trois minutes plus tard (5e). Le Français et le Portugais se retrouvaient ensuite sur un nouveau mouvement d'école mais le dernier rempart du vainqueur de la Copa Libertadores les mettait de nouveau en échec. Peut-être insuffisamment puisque, sur le corner suivant, Kroos trouvait Sergio Ramos, un temps incertain, pour ouvrir la marque de la tête (37e, 1-0).
Libérés avant la pause, les Madrilènes intensifiaient leur domination au retour du vestiaire et scellaient le sort du match par leur Gallois Gareth Bale. D'un tir croisé après une passe astucieuse d'Isco dans l'intervalle, l'ancien Spur mystifiait un Torrico finalement trop court (51e, 2-0). Muet pendant cette compétition face aux montants adverses, Cristiano Ronaldo laissait ensuite le soin à l'avant-centre tricolore de mettre à contribution la défense de San Lorenzo (63e, 73e). Mais son choix, après la rencontre, de ne pas serrer la main de Michel Platini, qui lui préfère Neuer dans la course au Ballon d'Or 2014, fera sans doute beaucoup parler.

jeudi 18 décembre 2014


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Le Real bat un nouveau record


La BBC
 
La BBC
En battant Cruz Azul 4-0, le Real Madrid a décroché sa 21e victoire consécutive.

Mais ce n'est pas tout. En passant quatre pions aux Mexicains grâce à Ramos, Benzema, Bale et Isco, les Merengues ont battu un nouveau record : celui de l'équipe espagnole qui a inscrit le plus de buts en un an. Les coéquipiers de Cristiano Ronaldo en sont en effet à 176 et ont battu le record établi par le Barça en 2012 (175 buts). Et ce n'est peut-être pas fini, puisque les hommes d'Ancelotti ont encore une finale de Coupe du monde des clubs à jouer ce samedi face à Auckland ou San Lorenzo.

AS indique que la BBC représente 60% de ce total. Sur l'année 2014, CR7 a en effet inscrit 56 buts, Benzema 28 et Bale 22. Pas de quoi rassurer le prochain finaliste du Mondial des clubs.
http://www.sofoot.com/

AB

Ces patrons russes qui perdent des fortunes

SoFoot
Ces patrons russes qui perdent des fortunes

Ces patrons russes qui perdent des fortunes

Abramovitch, Rybolovlev, Galitsky et Usmanov ont plusieurs choses en commun. Ces quatre millionnaires russes ont des parts dans des clubs de foot et ils viennent surtout de perdre une partie de leur fortune dans les dernières 48 heures.

La Russie traverse actuellement une grave crise monétaire due à une chute de ses recettes pétrolières. Toute l'économie russe en subit les conséquences, et les premiers sur la liste sont forcément les premiers acteurs de l'économie, ces millionnaires russes. Vanity Fair a recensé quelques-uns d'entre eux et a estimé leurs pertes. Alisher Usmanov détient 21 % du capital d'Arsenal. Il vient par exemple de perdre plus de 650 millions d'euros. Dmitry Rybolovlev, le patron de Monaco, a lui perdu environ 120 millions d'euros. Roman Abramovitch n'échappe pas non plus à la crise et vient de dire au revoir à plus de 360 millions d'euros.

Mais le grand gagnant reste Sergey Galitsky. Le président du FC Krasnodar s'est vu soulager de la modique somme de 1 milliard et 18 millions d'euros.


Exclu Public : Nabilla : sortie de prison... Son ancienne codétenue balance tout !

Plus d'un mois après avoir été incarcérée à la maison d'arrêt de Versailles, Nabilla vient d'être libérée. Sonia, son ancienne codétenue, s'est confiée à Public en exclusivité !

Incroyable ! Alors qu'on pensait qu'elle serait libérée quelques jours avant Noël, c'est finalement aujourd'hui, le 18 décembre, que Nabilla Benattia est sortie de la maison d'arrêt de Versailles. La jeune femme avait en effet été incarcérée dans la nuit du 8 au 9 novembre dernier, soupçonnée d'avoir poignardé son compagnon Thomas Vergara. Là-bas, la starlette de la télé-réalité a partagé sa cellule de 10m2 avec Sonia. Public a rencontré la jeune femme en question, qui s'est livrée dans une interview exclusive !
Public : Vous a-t-elle parlé de Thomas ?
L'ex-codétenue de Nabilla : "Dès qu'elle pensait à Thomas, elle se mettait à pleurer. Elle est toujours amoureuse de lui. C'est une évidence" (... la suite dans votre mag')
Vous a-t-elle raconté ce qui s'est passé cette nuit ?
"Oui. Thomas lui a fait une crise de jalousie. Il est très violent et possessif. Ils se sont disputés et Thomas s'est enfoncé le couteau dans la poitrine. Il était anesthésié par la coke et ne sentait rien" (... la suite dans votre mag')
>> Pour en savoir plus et découvrir tous les autres détails de notre interview exclu, rendez-vous dans le nouveau numéro de Public en kiosques dès demain, vendredi 19 décembre ! Au programme : notre dossier exclusif, les aveux, son quotidien en cellule, des révélations sur Thomas et la drogue...Toute reproduction interdite sans la mention Public.

FC Barcelone : un nouveau coup fourré réservé à Neymar




Décidément, le transfert de Neymar au FC Barcelone durant l’été 2013 n’en finit plus de faire polémique. On le sait, les dirigeants Blaugrana sont accusés d’avoir dépensé près de 100 millions d’euros, et non 57 comme cela avait été annoncé, pour s’attacher les services de l’international brésilien et masquer ainsi aux yeux du fisc le versement de certaines commissions.
Une histoire plus étonnante est relatée par le média brésilien GloboEsporte. Un supporter du FC Santos, l’ancien club de Neymar, réclame à ce dernier 8400 euros de dommages et intérêt. La raison ? Luciano Caparroz Pereira, c’est son nom, avait assisté au championnat du monde des clubs au Japon en 2011, sans savoir à l’époque que le capitaine auriverde avait déjà signé un pré-contrat avec le club catalan. Il s’estime donc floué.
On ignore quelles suites la justice brésilienne donnera à cette affaire mais puisque Luciano Caparroz Pereira est avocat, il ne devrait avoir aucun mal à plaider sa cause…
http://actusports.net/

Russie: Poutine affirme que la crise ne durera pas plus de deux ans

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Vladimir Poutine lors de sa conférence de presse le 18 décembre 2014. REUTERS/Maxim Zmeyev

Vladimir Poutine s'est s'exprimé ce jeudi 18 décembre lors de sa conférence de presse annuelle qui tombe en pleine tempête monétaire avec un rouble dévalorisé. Sur le plan économique, Vladimir Poutine a montré un certain optimisme avec la promesse d'une embellie dans les deux ans. Il a également évoqué le conflit en Ukraine, les sanctions occidentales, et a eu recours à la rhétorique de « l'impérialisme occidental » en dénonçant la création d' un nouveau « mur » en Europe.

Avec notre correspondante à Moscou, Muriel Pomponne

Dès l'ouverture de sa traditionnelle conférence de presse, Vladimir Poutine a abordé la question économique. Et le président russe a voulu commencé par des chiffres positifs. Il a donc evoqué le commerce exterieur ou le taux de chômage inférieur a 6 %.

Mais il a vite admis que c'est la fluctuation du rouble qui préoccupe les Russes. De facon indirecte, il a critiqué l'action de la Banque centrale qui n'a pas pris les mesures nécessaires à temps. Il a même cité, en la mettant en cause, Elvira Nabiouillina, gouverneure de la Banque centrale, tout en soulignant que le gouvernement avait aussi une part de responsabilité, car sans doute, l'économie russe n'a pas été assez diversifiée.
Le gouvernement est donc invité à p
rendre de nouvelles mesures, notamment pour mieux contrôler les prix de l'essence et ceux de l'agro-alimentaire. Vladimir Poutine a souligné que les réserves financières du pays de 419 milliards de dollars, lui permettent de remplir ses engagements sociaux, notamment le paiement des pensions et salaires. Mais il a annoncé qu'il y aurait bien une révision du budget, des coupures budgétaires et a affirmé que cela devrait prendre au moins deux ans avant de retrouver un niveau de croissance correcte.

Sur l'Ouest, rien de nouveau

Sur l'Ukraine, pas de changement de ton. Vladimir Poutine accuse les Occidentaux de créer un nouveau « mur » en Europe et de se comporter comme un « empire », qui veut faire « marcher au pas ses vassaux ».
EXTRAIT
Aujourd’hui nous voyons de nouveaux murs s’ériger. Après la chute du Mur de Berlin, on nous avait dit qu’il n’y aurait pas d’élargissement de l’Otan vers l’Est, mais cela s’est produit à une vive allure. Il s'agit d'un mur virtuel, mais il commence déjà à être construit. Le bouclier antimissile près de nos frontières, qu’est ce que c’est ? Ce n'est pas un mur ? Vous comprenez, personne n’a l’intention de s’arrêter. Et c’est là que réside le problème le plus important des relations internationales aujourd’hui. Nos partenaires ont décidé qu'ils étaient les vainqueurs, qu'ils étaient désormais un empire et que les autres étaient des vassaux qu'il faut faire marcher au pas.

mardi 16 décembre 2014



Selon les Statistiques européennes : Messi est encore loin, très loin, de l'Allemand Gird Müller 






Lionel Messi est le meilleur buteur de l'histoire de la Liga mais il est loin des autres références en Europe. Voici toutes les stats des championnats européens. 

Ca sent la bulle pour Hull
Face à Chelsea, Hull City collectionne les mauvaises notes. 0/20 comme le nombre de victoire en déplacement à Stamford Bridge. 0/10 comme le nombre de victoire face aux Blues lors de leurs dernières oppositions. Et devinez où se déplacent ces cancres de Hull ce week-end ?
Attention à City…
Chelsea par ci, Chelsea par là. Cette saison, la Premier League n'a d'yeux que pour les Blues. Mais dans l'ombre des hommes de Mourinho, City n'est pas si mal loti. Avec 33 points, les Citizens réalisent le second meilleur départ de leur histoire. C'était en 2011-12 (38 points), année de leur troisième titre. Comme quoi, rien n'est encore joué de l'autre côté de la Manche.

Wenger n'avait, quasiment, jamais fait pire
Les supporters d'Arsenal commencent à perdre patience avec Arsène Wenger. Le titre n'est déjà plus qu'une douce chimère mais ça, les Gunners commencent à en avoir l'habitude. Plus grave, le podium est déjà à cinq points. Rarement Arsenal avait aussi mal démarré une saison. Sous l'ère Wenger, cela ne leur est arrivé qu'à une seule reprise lors de la saison 2012-13 (21 points contre 23 aujourd'hui). Les Gunners s'étaient qualifiés in extremis pour le tour préliminaire de la C1 au terme d'un exercice angoissant. Arsenal sait à quoi s'attendre. 
MU-Liverpool : du rouge, beaucoup de rouge
Attention boucherie. Ce n'est rien de dire que Liverpool et Manchester United se détestent. Le "Derby of England" entre les deux clubs les plus titrés du royaume accouche souvent d'une guerre de tranchées. Quinze expulsions ont déjà sanctionné les excès d'engagement de MU et des Reds dans leurs oppositions directes en Premier League. Seul un autre derby, tout aussi sanglant, fait pire depuis 1992, celui qui oppose Everton à Liverpool. Rien de très étonnant en somme.

Le Real, c'est monstrueux
Le début de saison du Real Madrid nous ramène au temps du noir et blanc, des ballons en cuir fermés par un lacet et des scores fleuves. Depuis le début de saison, l'équipe de Carlo Ancelotti a inscrit 51 buts en 14 matches. C'est prodigieux. Seule une équipe a fait mieux dans l'histoire de la Liga : l'Athletic Bilbao (55 buts lors de la saison 1933-34, 64 en 1930-31). Un autre temps, un autre foot. 
Messi, bonnet d'âne des recordmen
Oui, Lionel Messi bat tout un tas de records depuis quelques semaines : Liga, Ligue des champions, compétitions européennes. Mais à l'échelle des cinq grands championnats européens, Messi est encore loin de devenir la référence. Il est même le bonnet d'âne des recordmen de chaque championnat. En Liga, il a établi la marque record de 256 buts. Mais il reste très loin de Silvio Piola (290 buts en Serie A), Delio Onnis (299 en Division 1), Jimmy Greaves (357 en Angleterre) et der Bomber, Gerd Müller (365 en Bundesliga). Pas si impressionnant que ça finalement Leo.
Augsburg, le caillou dans la chaussure du Bayern
Augsburg est au Bayern ce qu'Evian-Thonon-Gaillard est au PSG. Une sorte d'enquiquineur, un caillou dans la chaussure. La dernière défaite du champion d'Allemagne sur la pelouse d'Augsburg, la première de Guarduiola sur le banc du club allemand, a mis un terme à sa série record de 53 matches sans connaître le moindre revers en championnat. Cette saison, le Bayern a repris son rythme de croisière et n'a toujours pas perdu en Bundesliga mais c'est sur la pelouse d'Augsburg qu'il ira défendre son invincibilité ce week-end.
A domicile, personne ne fait mieux que la Juve
13 janvier 2013, date de la dernière défaite de la Juve à domicile en Serie A, c'était face à la Sampdoria (1-2). Depuis, la bande à Pogba a aligné 34 matches sans le moindre revers en championnat et reste sur 25 victoires de rang au Juventus Stadium (record de Serie A). Dans les cinq grands championnats européens, personne ne fait mieux. Au Portugal, le Benfica tient tête aux Turinois avec une série de 40 matches sans défaite. Mais c’est la Samp’ qui se déplace à Turin ce week-end. 

http://eurovisions.eurosport.fr/football/stats-europeennes-messi-est-encore-loin-tres-loin-de-muller_sto4511031/story.shtml

lundi 15 décembre 2014

20/20 pour le Real Madrid

Cristiano Ronaldo a encore inscrit deux buts avec le Real Madrid à Almeria (1-4).
 
Cristiano Ronaldo a encore inscrit deux buts avec le Real Madrid à Almeria (1-4). (Reuters)
Compte-rendu
La note maximale ! Ce vendredi, le Real Madrid a aligné un vingtième succès de rang à Almeria (1-4, 15e j.) toutes compétitions confondues, après son succès en milieu de semaine contre Ludogorets en Ligue des champions. Double passeur, Benzema n'a pas marqué, au contraire d'Isco (34e), Bale (42e) et de l'inévitable Cristiano Ronaldo (81e, 89e). 
Le Real Madrid n’avait pas l’intention de mégoter, ni même de prendre à la légère ce déplacement sur la pelouse d’Almeria, pourtant 18e de Liga et orphelin de son technicien Francisco Rodriguez Vilchez, limogé en milieu de semaine. En ouverture de la 15e levée de l’autre côté des Pyrénées, Carlo Ancelotti avait ainsi aligné une équipe franchement compétitive pour enregistrer un 20e succès de rang toutes compétitions confondues. Du jamais vu en Espagne.
Et les Merengues ont accompli aisément leur mission, s’appuyant sur leurs forces habituelles pour détruire des locaux, qui auront résisté l'espace d'une mi-temps, voire un peu plus, avant de rendre les armes. Avec Carvajal, Marcelo, Varane et Benzema pour remplacer les sortants Arbeloa, Nacho, Coentrao et Chicharito par rapport à l’opposition contre Ludogorets, le club de la capitale était cependant bien trop fort pour une formation andalouse en plein doute.

Benzema, double passeur décisif

A la pause, l’écart n’était pourtant pas si énorme au tableau d’affichage, les visiteurs ayant réussi à reprendre un avantage après une égalisation de Verza après 39 minutes de jeu. A la réception d’un centre de Benzema côté gauche, Isco avait lui contrôlé de la poitrine pour effacer son vis-à-vis d’un crochet extérieur et ouvrir la marque d'un tir enroulé (34e, 1-0). Et si le milieu de terrain défensif de l’UDA se permettait d’aligner Casillas d’une frappe lointaine sur une relance de la tête plein axe de Varane (39e, 1-1), Bale remettait son équipe dans le sens de la marche sur un centre enveloppé côté droit de Toni Kroos (42e, 1-2).
Mais le club de la capitale n’avait pas encore partie gagnée. Au contraire même, puisque Verza avait encore une balle de nouvelle égalisation (62e). Sauf que "San Iker" était cette fois bien béni et voyait la tentative de son adversaire s’échapper du cadre. Le tournant du match, assurément, puisque la Maison Blanche reprenait alors un nouvel ascendant dans le jeu, jusqu’au doublé de l’indispensable Cristiano Ronaldo. Déjà passeur, Benzema était encore présent pour mettre le Portugais sur orbite à la sortie d’un une-deux (81e, 1-3). A une minute de la fin du temps réglementaire, "CR7" régalait encore l’assistance sur une percée côté gauche de Carvajal (89e, 1-4). Histoire de boucler un peu plus en beauté la semaine plus que parfaite du champion d'Europe en titre.

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