Un Canadien invente une crème pour effacer les tatouages
Les personnes qui regrettent l’erreur de jeunesse qui orne
leur corps pourront bientôt remercier cet étudiant canadien, qui
affirme avoir inventé une crème pour faire disparaître les tatouages, et
ce, sans douleur.
Alec Falkenham, qui détient un doctorat à l'Université Dalhousie à Halifax, travaille sur une crème qui efface graduellement l’encre sur la peau.
L’étudiant de 27 ans du département de pathologie a comparé son nouveau procédé au laser, actuellement utilisé pour le «détatouage», dans une entrevue accordée à CBC.
Il explique que le laser laisse des brûlures et des cicatrices, contrairement à sa crème, qui ne causera pas d’inflammation.
Le fonctionnement
Lors d’un tatouage, l’encre est injectée dans la peau et déclenche une réponse immunitaire. Les cellules appelées macrophages se déplacent dans la région tatouée afin d’aspirer l’encre. C’est ce qui rend le tatouage visible sur la peau.
La crème de Falkenham cible ces cellules qui sont restées sur le site de l’œuvre et les fait migrer vers les ganglions lymphatiques, emmenant l’encre avec elles.
Le doctorant tente présentement d’obtenir un brevet pour cette nouvelle technologie. Andrea McCormick, le gestionnaire du bureau d’innovation et de liaison avec l’industrie de l’université, décrit Alec comme un pionnier dans le monde du tatouage.
«Ses premières recherches ont conduit à d'excellents résultats et la prochaine étape de son étude s’appuiera sur ceux-ci, afin de développer un produit éventuellement mis sur le marché.»
Le jeune savant ne sait pas encore combien de crème sera nécessaire pour effacer complètement un tatouage ni quand son produit sera disponible. Il le teste actuellement sur les oreilles tatouées d’un cochon.
Le traitement, qui fonctionnera mieux sur les tatouages faits il y a plus de deux ans, coutera environ 4,50 $ pour une zone de 10 cm sur 10 cm.
http://www.journaldemontreal.com
Alec Falkenham, qui détient un doctorat à l'Université Dalhousie à Halifax, travaille sur une crème qui efface graduellement l’encre sur la peau.
L’étudiant de 27 ans du département de pathologie a comparé son nouveau procédé au laser, actuellement utilisé pour le «détatouage», dans une entrevue accordée à CBC.
Il explique que le laser laisse des brûlures et des cicatrices, contrairement à sa crème, qui ne causera pas d’inflammation.
Le fonctionnement
Lors d’un tatouage, l’encre est injectée dans la peau et déclenche une réponse immunitaire. Les cellules appelées macrophages se déplacent dans la région tatouée afin d’aspirer l’encre. C’est ce qui rend le tatouage visible sur la peau.
La crème de Falkenham cible ces cellules qui sont restées sur le site de l’œuvre et les fait migrer vers les ganglions lymphatiques, emmenant l’encre avec elles.
Le doctorant tente présentement d’obtenir un brevet pour cette nouvelle technologie. Andrea McCormick, le gestionnaire du bureau d’innovation et de liaison avec l’industrie de l’université, décrit Alec comme un pionnier dans le monde du tatouage.
«Ses premières recherches ont conduit à d'excellents résultats et la prochaine étape de son étude s’appuiera sur ceux-ci, afin de développer un produit éventuellement mis sur le marché.»
Le jeune savant ne sait pas encore combien de crème sera nécessaire pour effacer complètement un tatouage ni quand son produit sera disponible. Il le teste actuellement sur les oreilles tatouées d’un cochon.
Le traitement, qui fonctionnera mieux sur les tatouages faits il y a plus de deux ans, coutera environ 4,50 $ pour une zone de 10 cm sur 10 cm.
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