vendredi 29 mai 2015

La FIFA a tranché pour le recrutement du Barça


 

Alors que Barcelone espérait une annulation de sa sanction en cas de réélection de Sepp Blatter à la tête de la FIFA, il sera bel et bien interdit de recrutement jusqu’en janvier 2016.

Reconnu coupable d’infraction dans les transferts de plusieurs joueurs mineurs, le FC Barcelone a été sanctionné par la FIFA d’interdiction de recrutement sur le marché des transferts jusqu’à janvier 2016. Le club catalan pourrait bien s’activer sur le marché des transferts, mais il ne pourra aligner ses recrues jusqu'à cette date.

« AUCUNE POSSIBILITÉ DE SUSPENDRE LA SANCTION »

Joint par Mundo Deportivo, Jérôme Valcke, le secrétaire général de la FIFA, a confirmé l’interdiction de recrutement du Barça. « Il n’existe aucune possibilité légale de suspendre cette sanction ». Ainsi, alors que le FC Barcelone espérait encore un geste de la FIFA pour annuler sa sanction en cas de réélection de Sepp Blatter à la tête de la FIFA, il devra bel et bien devoir composer avec une interdiction de recrutement jusqu’en janvier 2016.

« SI L’ON CONSIDÈRE QU’IL MANQUE UN JOUEUR… »

« Si la direction technique, Luis Enrique en tête, considère qu’il manque un joueur dans un secteur de jeu, nous pourrons le recruter. Nous pourrons recruter en 2015, mais les renforts ne pourront jouer qu’à partir de 2016. Nous ne pouvons pas inscrire de joueurs jusqu’au 2 janvier 2016, mais il est clair que nous pouvons recruter maintenant et que nous pourrons recruter cet été. Comme nous avons recruté Luis Suarez l’été dernier malgré sa suspension. Nous pouvons recruter des joueurs. Ces joueurs peuvent soit s’entraîner avec nous et jouer des matches amicaux en attendant le 2 janvier 2016, soit nous pouvons ficeler des accords avec d’autres équipes pour qu’ils y jouent d’ici le 2 janvier 2016 avant de revenir ici », avait confié Josep Maria Bartomeu, le président du Barça.

Real Madrid: Benitez présenté mercredi ?

Rafael Benitez
 
Reuters
Jeudi, Rafael Benitez a annoncé son départ du SSC Naples, et ne va bénéficier que de quelques jours de repos avant de reprendre du service. Selon des informations de Marca, le technicien espagnol est attendu au Real Madrid mercredi.
Sa présentation sera suivie d'une conférence de presse qui devrait débuter à 13 heures. L'ancien manager des Reds de Liverpool ou des Blues de Chelsea prendra dans la foulée possession de son bureau et du centre d'entraînement à Valdebebas

Barça : Santos attaque le club et Neymar !

 



Le transfert de Neymar (23 ans, 33 matchs et 22 buts en Liga cette saison) va encore poser des problèmes au FC Barcelone. Si l'attaquant brésilien fait le bonheur des Blaugrana sur le terrain, le club catalan doit faire face à la justice concernant une possible fraude fiscale lors de son transfert (voir ici). Et ce vendredi, le club formateur du Brésilien, Santos, a lancé des poursuites devant la FIFA contre le FC Barcelone et le clan Neymar (notamment l'entreprise Neymar Sports & Marketing).

"Le Santos considère que le FC Barcelone, Neymar et son entreprise ont commis des violations du contrat de transfert et réclame une indemnité pour les dommages, avec intérêts", a annoncé le président de Santos, Modesto Roma Junior, en conférence de presse.

Désormais estimé à 83,3 millions d'euros, le transfert de Neymar pourrait donc coûter encore plus cher au FC Barcelone...
 
  par Damien Da Silva

Real : le club a tranché pour Ronaldo

 



Après la saison blanche du Real Madrid et le départ de Carlo Ancelotti, de nombreuses rumeurs ont annoncé un départ possible de Cristiano Ronaldo (30 ans, 35 matchs et 48 buts en Liga cette saison) au Paris Saint-Germain. En effet, l'international portugais disposerait d'une offre permanente du club de la capitale. Mais d'après les informations du site espagnol ABC, le Real Madrid n'a pas du tout l'intention de vendre Ronaldo et fixe le prix de son départ à un milliard d'euros, soit le montant de sa clause libératoire.

Bien évidemment, cette information n'est pas forcément une surprise. Malgré l'année décevante du Real Madrid, Cristiano Ronaldo a réalisé de grandes performances avec notamment un titre de Pichichi en Liga devant Lionel Messi (27 ans, 38 matchs et 43 buts en Liga cette saison). Néanmoins, le PSG devrait rester à l'affût...
 
 par Damien Da Silva

Scandale de la Fifa: onde de choc en Afrique du Sud

media  
 
 
Le stade FNB de Soweto, à Johannesburg, a accueilli la Coupe du monde de football en 2010. Wikipédia
L’Afrique du Sud est visée par l’affaire de corruption qui touche la Fifa. Mercredi, la ministre américaine de la Justice, Loretta Lynch, a dénoncé l’attribution de la Coupe du monde de football 2010. L’Afrique du Sud aurait payé 10 millions de dollars aux dirigeants de la Fifa pour que l’événement se tienne dans le pays. Une accusation qui a provoqué une vraie onde de choc.
Après cette annonce, le ministre sud-africain des Sports a tenu une conférence de presse, ce jeudi dans la matinée. Fikile Mbalula est catégorique : le gouvernement sud-africain n’a jamais transféré d’argent à la Fifa pour obtenir cette Coupe du monde. Le ministre visiblement énervé a contesté : « C’est faux de dire que le gouvernement est impliqué. Le processus d’obtention de cette Coupe du monde a été respecté. Nos comptes sont transparents, nous n’avons rien à cacher ».
Le ministre a fini par ajouter que l’Afrique du Sud devait être respectée. Le pays a demandé au gouvernement américain une copie de l’acte d’accusation, afin de pouvoir l’étudier.
Pendant ce temps les détails de l’implication sud africaine commencent à rejaillir. Selon l'acte d'accusation de la justice américaine rendu public aujourd’hui, le gouvernement sud-africain et le comité de candidature du Mondial 2010 auraient versé 10 millions de dollars à Jack Warner, ancien vice président de la Fifa, en échange de trois voix en faveur de l'Afrique du Sud. Toujours selon l’acte d’accusation, l'argent a été viré via la Fifa.
Deux Sud-Africains sont désignés par la justice américaine. Des membres du comité de candidature de l’Afrique du Sud.
En tout les cas, ces accusations ont fait l’effet d’une bombe en Afrique du Sud où cet événement était une source de fierté. Fierté également de tout un continent.

Corruption à la Fifa: Chuck Blazer, le repenti qui a tout balancé au FBI







FOOTBALL - Contraint de coopérer et de porter des micros, l'ancien grand argentier de la Concacaf a joué un rôle de premier plan dans l'enquête pour corruption qui a abouti à l'arrestation de sept dirigeants de la Fifa.

Avec sa bedaine triomphante, ses cheveux bouclés et sa barbe fournie, Chuck Blazer aurait pu jouer les Père Noël de centre-commercial. L'homme appréciait d'ailleurs beaucoup les soirées costumées. Derrière l'allure bonhomme se cache pourtant un champion de la fraude. Mais en rédemption: Blazer, miné actuellement par un cancer du côlon, a retourné sa veste. En novembre dernier, le New York Daily News révélait son entière coopération dans l'enquête menée par le département de la Justice des Etats-Unis sur la Fifa. La même enquête qui vaut ce mercredi à plusieurs dirigeants de la Fifa d'avoir été arrêtés et d'attendre leur extradition.

Le grand argentier de la Concacaf
Blazer, membre du puissant Comité exécutif de la Fifa de 1996 à 2013 et secrétaire général de la Concacaf (équivalent de l'UEFA pour l'Amérique du Nord, l'Amérique centrale et les Caraïbes) de 1990 à 2011, n'a pas vraiment eu le choix. Le FBI l'a contraint à jouer les informateurs dès 2011, menacé par des arriérés d'impôts portant sur les millions de dollars qu'il avait détourné. Le genre d'affaires qui peut se traduire par des années de prison aux Etats-Unis.

Comme dans les films, Blazer a accepté de porter un micro sous son costume, en essayant de faire avouer leurs fautes à ses anciens camarades de la Fifa. Il a également levé le voile sur le système de corruption à l'oeuvre sur les deux continents américains, révélant notamment la machine à cash, pour ses dirigeants, que constitue la sulfureuse Concacaf. Chuck Blazer a ensuite plaidé coupable le 25 novembre 2013 pour racket, fraude, blanchiment et évasion fiscale. Il a remboursé déjà 1,9 million de dollars et sait qu'il va devoir sortir à nouveau son chéquier lors d'un procès qu'il espère clément au regard (...)

FIFA : 5e mandat pour Blatter !

 

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Malgré l'explosion d'un nouveau scandale de corruption juste avant les élections, Sepp Blatter a été nommé pour la 5e fois consécutive à la tête de la FIFA. Après un premier tour largement en faveur du dirigeant suisse (133 votes contre 73), le Prince Ali de Jordanie a décidé de se retirer de cette élection.
À la tête de cette instance depuis 1998, Sepp Blatter a assuré "une FIFA forte" pour faire face aux récentes affaires de corruption. Pour les 4 prochaines années, la FIFA sera donc dirigée par Sepp Blatter.
 par Damien Da Silva

Fifa-Prince Ali: "J'honorerai le jeu"


 


 Platini soutient le prince Ali.
Reuters

Le discours du Prince Ali convaincra-t-il les votants lors du congrès de la Fifa ?
Candidat à l'élection présidentielle contre Sepp Blatter lors du congrès de la Fifa ce vendredi, le Prince Ali bin Hussein de Jordanie a tenté de convaincre les votants avec un discours juste avant le début du scrutin. L'intéressé a tenté de mettre en avant sa probité et sa volonté de faire table rase de l'encombrant passé de l'instance internationale.

"Cette élection présidentielle est l'occasion de prendre un nouveau départ. Les yeux du monde entier sont rivés sur nous et je vous demande humblement de voter pour moi. Je sais que la Fifa n'est pas l'organisation d'un seul homme, c'est pourquoi je ne gouvernerai pas de manière unilatérale. J'honorerai le jeu, sans interférence extérieure et ne me cacherai pas dans vos rangs", a expliqué le Prince Ali dans des propos rapportés par Sky Sports.

Sepp Blatter, qui brigue un cinquième mandat, reste néanmoins le grand favori de cette élection en dépit des récentes affaires autour de l'organisation.

sports.fr

Blatter: "Je voudrais juste rester avec vous"






 Zurich, 29 mai 2015. Le sortant juste avant le vote.
 
Zurich, 29 mai 2015. Le sortant juste avant le vote. (Reuters)



Le Suisse ne veut surtout pas lâcher la barre de la Fifa. Joseph Blatter l’a rappelé très clairement, vendredi après-midi à Zurich, à quelques minutes du début du vote qui désignera le prochain président de la puissante fédération sportive. "Je suis à votre disposition", a déclaré Blatter. 

Avant le vote qui désignera le prochain président de la Fifa (début ce vendredi à 17 heures), les deux candidats ont prononcé un dernier discours, cet après-midi à Zurich. Joseph Blatter, qui a succédé sur la tribune à son adversaire, le prince Ali bin Al Hussein de Jordanie, a notamment indiqué que le football mondial n’avait pas "besoin de révolution mais d’évolution". Une manière pour le sortant, 79 ans, de défendre sa personne alors que la Fifa doit faire face à d’intenses remous depuis mercredi et l’arrestation d’une dizaine de personnes pour des faits de corruption.

Le Suisse, dont le départ a été demandé jeudi par Michel Platini, le patron de l’UEFA, est revenu sur l’agissement de ses détracteurs: "On dit que je suis responsable de tout ça ? Et bien d’accord, je prends cette responsabilité et je veux assumer cette responsabilité." Mais certainement pas en démissionnant ni en reportant le vote, le souhait des opposants de Blatter. "Je veux remonter la pente, refaire la Fifa avec vous et tout de suite, dès demain et après-demain, et à la fin de mon mandat, je veux rendre une Fifa solide, sortie de la tempête", a déclaré celui qui brigue un 5e mandat consécutif.
A la fin de son intervention, Blatter a lancé un dernier appel à l’assistance: "Je suis avec vous, certains diront depuis longtemps, d’autres depuis trop longtemps, mais je voudrais juste rester avec vous, continuer avec vous. C’est une question de confiance de votre côté et du mien, c’est une question de respect. Je suis à votre disposition."

sports.fr

. © Michael Bulholzer

Le vote pour élire le président de la Fifa, qui départagera Joseph Blatter, 79 ans, en poste depuis 1998, et son challenger le Prince Ali, 39 ans, un de ses vice-présidents, a débuté vendredi à Zurich vers 17h00 heure française.
Cette élection se tient alors que la Fifa est frappée par un scandale de corruption planétaire. Le président est élu par le congrès de la Fifa (209 votants), pour une période de 4 ans. L‘élection est organisée à bulletin secret.
Offensif face à l‘énorme pression internationale, Joseph Blatter a appelé pus tôt les membres de la Fifa à l’union sacrée en se présentant comme un “leader fort et expérimenté”.
M. Blatter, 79 ans, attaqué de toutes parts et notamment par le président de l’UEFA Michel Platini qui lui a personnellement demandé jeudi de démissionner, a pour adversaire le prince jordanien Ali bin Al Hussein, 39 ans, un de ses vice-présidents.

. Blatter maintient son cap
Dans son discours de candidat avant le vote en fin d’après-midi, le Suisse a fait valoir son profil de “leader expérimenté, un leader fort qui connaît les implications, nous devons travailler avec nos partenaires politiques et économiques”, tout en jouant sur la fibre émotionnelle: “Je veux rester avec vous!”
“On me rend responsable de la tempête, oui, d’accord, j’accepte cette responsabilité, je promets une Fifa forte, je veux remonter le chemin, arranger la situation de la Fifa, je veux une Fifa belle, robuste, sortie de la tempête”, a-t-il martelé.
Le matin, il avait appelé à “l’esprit d‘équipe” pour “attaquer les problèmes”.
D’où vient cette tempête selon lui? “Si le 2 décembre 2010, deux autres pays avaient été désignés organisateurs des Coupes du monde 2018 (Russie) et 2022 (Qatar), je pense qu’on n’en serait pas là aujourd’hui”, a lâché “Sepp”, sous-entendant que ces nominations ont provoqué la colère de l’Angleterre, candidate déçue de 2018, et des Etats-Unis, frustrés de ne pas avoir été retenus pour 2022, et dont la ministre de la Justice Loretta Lynch s’est placée en pointe dans l’offensive anti-corruption.
Le Qatar de son côté a assuré vendredi avoir respecté les “plus hauts standards éthiques” pour obtenir l’organisation du Mondial-2022, dans sa première déclaration officielle depuis mercredi.
Ce jour-là, une bombe atomique médiatique avait explosé, avec les deux procédures judiciaires distinctes diligentées par les justices américaine et suisse, pour corruption présumée à grande échelle, et arrestations à Zurich de sept élus de la Fifa, inculpations en rafales et perquisitions de son siège.
M. Blatter, entré à la Fifa en 1975 et président depuis 1998, a déjà surmonté de graves crises en 2002 et 2011, qui ne l’ont pas empêché d‘être réélu à chaque fois, et a encore usé vendredi de sa célèbre métaphore marine en appelant les 209 fédérations composant la Fifa à lui laisser la barre pour que “le bateau ne tangue plus, et avance tranquillement”.
Il navigue en tout cas dans un océan de dollars: la Fifa a enregistré un bénéfice de 338 millions USD (308 M d’euros) sur la période 2011/2014 pour un chiffre d’affaires de 5,7 milliards de dollars (5,2 milliards EUR), grâce en grande partie aux revenus du Mondial-2014 au Brésil. Ses réserves s‘élèvent à 1,5 milliard de dollars (1,36 md euros).

. Ali peut-il renverser Blatter?
Avant le vote, le prince jordanien a axé son discours de candidat sur l’image de la Fifa, fortement abîmée: “Les yeux du monde sont sur nous, nous devons envoyer un message à ceux qui nous regardent: +Nous comprenons la fragilité de votre confiance+. L’avenir passe par la transparence. Nous devons montrer que nous voulons regagner le respect du monde”.
Peut-il gagner? Michel Platini voulait y croire “avec ce qui s’est passé” mercredi.
Chacune des 209 fédérations de la Fifa a une voix.
L’Afrique (54 voix) devrait rester fidèle à Blatter, considéré comme l’artisan de la première Coupe du monde organisée sur le continent en 2010.
La Jordanie, pays natal du Prince Ali, est rattachée à l’Asie (46 voix). Mais, signe de défiance, cette confédération ne l’a pas reconduit à son poste de vice-président asiatique de la Fifa pour le prochain mandat qui s’ouvrira samedi. S’il n’est pas élu président, il ne sera plus au gouvernement du foot mondial.
La Concacaf (Amérique du Nord, centrale et Caraïbes), 35 voix, a été frappée de plein fouet par les affaires, puisque son président (désormais ex-président) Jeffrey Webb fait partie des personnes arrêtées à Zurich. Comment votera-t-elle? Les autres contingents, Océanie (11 voix) et Amérique du Sud (10), pèsent moins. L’UEFA, c’est-à-dire l’Europe (53 voix), est opposée à M. Blatter.
A quelques exceptions près, comme la Russie, supporteur du Suisse et qui considère que l’action judiciaire pilotée depuis les Etats-Unis est une manœuvre pour empêcher la tenue du Mondial-2018 en Russie. Les USA, eux, voteront Ali. Le football vient donc envenimer des relations entre Moscou et Washington déjà mises à mal par le conflit en Ukraine.

. Image en lambeaux
La Fifa, déjà tourmentée par le feuilleton du Qatar, n’avait pas besoin de cette crise et des sarcasmes et critiques pullulant dans la presse et les réseaux sociaux.
Des dirigeants politiques sont également entrés dans la ronde. “A mon avis, il devrait partir, a lancé vendredi le Premier ministre britannique David Cameron. Vous ne pouvez pas avoir des accusations de corruption à ce niveau et à cette échelle dans cette organisation et prétendre que la personne qui la conduit en ce moment est la bonne personne pour la faire avancer”.
Jeudi, François Hollande avait insisté sur la nécessité pour les organisations sportives d‘être “incontestables”.
Plusieurs entreprises multinationales, dont Nike, Visa, Adidas, Coca-Cola ou Hyundai, ont exprimé leurs préoccupations.

. Résolution palestinienne retirée
La Palestine, qui menaçait de déposer une résolution appelant à suspendre Israël, coupable selon elle de complicité avec les agissements des autorités israéliennes, y a finalement renoncé, au moins provisoirement.
“Beaucoup de mes collègues, attachés à l‘éthique et aux valeurs du jeu, m’ont dit combien il était pénible pour eux de voir la question de la suspension soulevée au sein de notre famille”, a expliqué le président de la Fédération palestinienne, Jibril Rajoub.
Une commission internationale de supervision a été votée à la place. Les présidents des deux fédérations se sont serré la main sous les applaudissements.
M. Blatter n’a pas manqué de mettre cette poignée de mains au crédit de son bilan.

eurosports.com

Un Mondial 2002 truqué ?


L'équipe d'Espagne en 2002
 
L'équipe d'Espagne en 2002 (Reuters)

Les justices américaine et suisse ont mis le feu aux poudres... Depuis mercredi et les premières arrestations dans le cadre d'un vaste scandale de corruption autour de la Fifa, chaque jour dévoile son lot de nouvelles révélations. Ce vendredi, la Coupe du monde 2002 se retrouve ciblée, et notamment des matches arrangés en faveur de la Corée du Sud. 

Chaque grande compétition nationale ou internationale verse son lot de décisions surprenantes qui sèment parfois le doute dans l'esprit des observateurs. Certaines erreurs restent toutefois historiquement dans les mémoires, comme le but de la main de Diego Maradona contre l'Angleterre en 1986, le cheick qui descend sur la pelouse lors de France-Koweït en 1982, le penalty accordé à l'Italie contre l'Australie en 2006, ...

Chaque fan de ballon rond aurait son propre récit à livrer. Mais concernant la Coupe du monde 2002, organisée conjointement par la Corée du Sud et le Japon, les faits de jeu surprenants avaient été assez nombreux, sans que personne ne puisse jamais apporter la preuve de quelconques arrangements. Mais ce vendredi, alors que le scandale qui secoue la Fifa fait rage depuis mercredi, le Corriere dello Sport avance que les rencontres gagnées par les Coréens contre l'Espagne et l'Italie avaient été arrangées. 

Warner en chef d'orchestre ?
En huitièmes de finale, la Squadra Azzurra avait été éliminée (2-1 après prolongation) par la troupe de Guus Hiddink, avec à la clef une exclusion controversée de Francesco Totti, et un hors-jeu inexistant signalé par le corps arbitral et qui aurait pu permettre aux Transalpins de marquer. Au tour suivant, les Guerriers Taeguk avaient sorti l'Espagne aux tirs au but, la Furia Roja se voyant notamment refuser un but sans raison apparente (le ballon n'était pas sorti du terrain).

Or le média italien croit savoir que Jack Warner, ancien vice-président de la Fifa et mis en cause dans l'enquête menée actuellement, aurait pris une part active dans l'arrangement de ces deux rencontres. C'est le Trinidadien qui aurait notamment choisi les arbitres devant officier sur ces deux oppositions. Si ces accusations devaient se révéler exactes, nul doute que d'autres scandales touchant d'autres éditions du Mondial devraient ensuite être mises à jour...

sports.fr

L'Allemagne parmi les corrupteurs ?


 


 L'association Fifa
 
L'association Fifa (Reuters)

Le scandale de la Fifa agite de façon pour le moins néfaste la fin de saison 2015-2016. Sur fond de réélection de Joseph Blatter, les détracteurs et partisans du Suisse s'écharpent, et certaines révélations jaillissent. L'Allemagne aurait notamment acheté l'organisation de la Coupe du monde 2006...
Les autorités américaines et suisses ont tapé dans la fourmilière... Depuis mercredi, la Fifa (Fédération internationale de football association) se retrouve au coeur d'un vaste scandale de corruption étalé sur une vingtaine d'années. Et alors qu'une quinzaine de personnes ont déjà été interpellées, c'est ce vendredi que l'instance dirigeante va aux urnes pour élire son président.

Sepp Blatter sera opposé au Prince Ali de Jordanie et devrait s'offrir un cinquième mandat consécutif sans grande difficulté. En effet, historiquement, les fédérations africaines et asiatiques devraient voter en masse pour le président sortant, contrant ainsi aisément les Européens et des Américains partagés. Dans le camp du Suisse et de ses partisans, on est donc très confiant, et ce ne sont pas les déclarations de Michel Platini jeudi, réclamant la démission du n°1 de la Fifa, qui vont changer quelque chose.
Au contraire, voilà que le jeu du copinage se réveille. Ainsi, Constant Omari a semblé particulièrement agacé par l'attitude du patron de l'UEFA, et n'hésite pas à le rappeler à l'ordre. "Au sein de la Fifa, le principe est clair, une association est égale à une voix, que vous vous appelez Fédération française de football ou non. On ne peut pas parler avec un tel mépris, a expliqué le président de la Fédération congolaise sur RTL.

Et l'intéressé va plus loin dans son raisonnement, envoyant dans la foulée des accusations claires contre une association européenne, et pas des moindres. "L'Allemagne avait racheté la voix de l'Océanie, illégalement, pour obtenir l'organisation de la Coupe du monde, ça on n'en parle pas. Quand il s'agit de l'Allemagne, il ne faut pas en parler", avance Omari. La DFB ne devrait pas tarder à réagir...

sports.fr

jeudi 28 mai 2015

Les 4 déclas qui montrent que Sepp Blatter se pose en victime

FIFA - Lors d’une conférence de presse jeudi à Zurich, Sepp Blatter a réagi au scandale qui éclabousse la FIFA. Le président de l’organisation qui gère le football international affirme qu’il n’a rien à se reprocher. Et assure qu’il faudra compter sur lui pour combattre la corruption.

Seul contre l’opinion publique, Blatter se pose en rassembleur. Regard noir et voix rassurante, le président de la Fédération internationale de football était en campagne, jeudi.  Avant le début du 65e congrès de la FIFA à Zurich, le Suisse qui briguera un 5e mandat vendredi, a tenu à clarifier sa situation : il ne quittera pas son poste. C’est lui qui mènera le combat contre la corruption au sein de l’organisation.
" Ce sont des moments difficiles et sans précédent pour la FIFA. Les événements d'hier ont jeté une ombre sur le football et sur le congrès de cette semaine. Ces actions des individus, si elles sont prouvées, portent la honte et l'humiliation sur le football et demandent des actions et des changements de nous tous. Nous ne pouvons pas permettre que la réputation de la Fifa soit traînée dans la boue plus longtemps."
Sepp Blatter, le président de la FIFA, au moment de l'attribution de la Coupe du monde 2010 à l'Afrique du Sud - 2004
 
Sepp Blatter, le président de la FIFA, au moment de l'attribution de la Coupe du monde 2010 à l'Afrique du Sud - 2004 - AFP
Sepp Blatter ne s’attend pourtant pas à ce que la tension autour de la FIFA s’amenuise. Pire, cela ne fait que commencer. Il y aura d’autres révélations.
" Les prochains mois ne seront pas faciles pour la FIFA. Je suis sûr que d’autres mauvaises nouvelles pourraient suivre. Mais c’est nécessaire de commencer à restaurer la confiance dans notre organisation. Demain, lors du congrès, nous avons l’opportunité de débuter une longue et difficile route pour rétablir la confiance. "
Ainsi, le président de la FIFA nous explique que les choses se sont faites derrière son dos. Sans que jamais cela ne remonte jusqu’à lui. Il ne peut ainsi être tenu pour responsable de ce scandale.
" Il faut se rappeler pourquoi nous nous battons : des moments positifs dans le football. Ceux qui veulent corrompre le football sont une minorité. Si les gens veulent faire les choses de la mauvaise façon, ils vont essayer de le cacher. Beaucoup de gens me tiennent responsables. Je ne peux pas surveiller tout le monde tout le temps."
Sepp Blatter lors du 65e congrès de la FIFA
 
 
 
Sepp Blatter lors du 65e congrès de la FIFA - AFP
Comme un homme politique en campagne, Sepp Blatter est persuadé d'être l’homme de la situation pour rétablir la confiance des amoureux du football envers la FIFA.
" Pour le plaisir de ce jeu, de servir le jeu et changer les choses de manières positives et responsable, c’est pour cela que nous sommes là. Pour la paix, pour le monde et pour le

jeu, je demande la solidarité de notre institution."
En claire, pour qu’il y ait du changement à la FIFA, Sepp Blatter prône la continuité. La belle affaire.
Sepp Blatter, président de la FIFA - 2015 
Sepp Blatter, président de la FIFA - 2015 - Panoramic 
 
sources: eurosports.fr

mercredi 27 mai 2015

La FIFA dans la tourmente pour des soupçons de corruption


Sept cadres de la Fédération internationale de football ont été arrêtés ce matin à Zurich. Opérant à la demande des autorités américaines, la police suisse les a interpellés pour des dessous de table présumés portant sur plusieurs dizaines de millions de dollars sur une période allant de 1991 à nos jours. Les accusations visent des faits de corruption sur l’attribution de Coupes du monde, de droits télévisés et de marketing. Les suspects dont deux vice-présidents de la FIFA ont été placés en détention et font l’objet d’une demande d’extradition américaine. Le Département américain de la Justice indique avoir inculpé au moins 14 personnes dans cette affaire. Quatre auraient plaidé coupables et accepteraient de collaborer avec la justice américaine selon le Washington Post.
Dans une procédure distincte, le parquet suisse a lui saisi des documents et des bases de données électroniques au siège de la FIFA dans le cadre d’une enquête pour “blanchiment d’argent et gestion déloyale” sur l’attribution des Coupes du monde 2018 en Russie et 2022 au Qatar.
Ces enquêtes interviennent alors que la FIFA tient en cette fin de semaine son congrès annuel. Sepp Blatter, son puissant président depuis 1998 doit y briguer un cinquième mandat. Controversé, Blatter, est défié notamment par le Prince Ali de Jordanie qui a évoqué dans un communiqué “un jour triste pour le football”.
Le tribunal fédéral de Brooklyn, à New York tiendra une conférence de presse dans la journée avec le FBI pour faire le point sur cette rocambolesque affaire. L’ex-procureur de Brooklyn est désormais la nouvelle ministre fédérale de la justice, il s’agit de Loretta Lynch, en poste depuis quelques semaines.

Arrestations Fifa: Quatre des six interpellés identifiés

 
Reuters
A deux jours de l'élection du président de la Fifa, qui ne concerne plus que deux personnes, Sepp Blatter, le président sortant, et le Prince Ali Bin Al Hussein, six membres de la Fédération internationale ont été arrêtées ce mercredi matin à Zurich à leur hôtel. Selon l'envoyé spécial de la BBC, Jeffrey Webb, président de la Confédération de football d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes (CONCACAF), José Maria Marin, l'ancien président de la fédération brésilienne, le Costaricien Eduardo Li et l'Uruguayen Eugenio Figueredo sont quatre des six personnes qui sont sous le coup d'une demande d'extradition de la part des Etats-Unis.

sports.fr

Descente du FBI au siège de la Concacaf

Le FBI est intervenu au siège de la Concacaf à Miami.
 
Twitter
La police fédérale américaine est entrée en action ce mercredi matin, quelques heures seulement après les arrestations de plusieurs membres de la Fifa.
Le football mondial tremble. Alors que la Fifa est dans la tourmente, frappée ce mercredi matin par les arrestations de 14 de ses membres, le siège de la Concacaf, la Confédération nord-américaine de football, à Miami, a été perquisitionné par le FBI.
Le ministère américain de la justice l’a confirmé ce jour, faisant directement le lien avec les inculpations de neuf élus de la Fifa et de cinq autres partenaires de la fédération internationale. Parmi eux, l’actuel président de la Concacaf, Jeffrey Webb, l’un de ses prédécesseurs, Jack Warner, et l’attaché personnel du premier nommé, Costas Takkas, secrétaire général de la Fédération des îles Caïmans.
Tout ce petit monde est soupçonné d’avoir mis en place un système complexe de rétro-commissions pour un préjudice global de plusieurs millions de dollars.

SPORTS.FR

Arsenal - Clash : Quand Wenger répond aux provocations de Mourinho !

 


Après les moqueries de José Mourinho envers ses rivaux anglais, Arsène Wenger a été invité à lui répondre en conférence de presse.

Avec le titre de champion d’Angleterre en poche, les joueurs de José Mourinho se sont retrouvés mardi soir lors du gala remettant le trophée du meilleur joueur de la saison à Chelsea. José Mourinho n’a pas hésité à faire le show pendant son discours et en a profité pour se moquer de ses principaux rivaux. Après Manchester United et City, le coach lusitanien s’est laissé aller sur Arsenal : « Il y a une troisième équipe qui veut jouer avec deux cages (pour leurs adversaires, ndlr). Ils ont marqué eux aussi quelques buts, ils en ont concédé quelques-uns. Mais après, l’autocar est arrivé et ils n’ont plus réussi à marquer. Ils ont demandé à la FIFA s’ils pouvaient jouer juste entre le mois de janvier et le mois d’avril, mais elle leur a répondu qu’il n’y avait aucune chance ».

« CE QU’IL DIT NE M’INTÉRESSE PAS »

Présent en conférence de presse, Arsène Wenger a tenu à mettre les choses au point : « Les moqueries de Mourinho? Oubliez ce qu’il a pu dire, et passez à autre chose. Ce qu’il a dit ne m’intéresse pas. Je n’écoute pas ce que certains peuvent dire. J’écoute les questions que vous me posez certes, mais quand je vous dis que je ne veux pas répondre, c’est que je ne veux pas répondre ».

« LA PLUS BELLE QUALITÉ CHEZ UN MANAGER, C’EST DE RESPECTER LES AUTRES »

Lors du dernier match entre Arsenal et Chelsea, les supporters des Gunners avaient chanté le fameux : « Boring, Boring Chelsea ». Interrogé en conférence d’après match, José Mourinho avait répondu qu’être « ennuyeux, c’était plutôt de ne pas gagner en onze ans ». Une nouvelle attaque envers Arsène Wenger, qui avait rétorqué : « La plus belle qualité chez un manager, c'est de respecter les autres. Et certains ont des progrès à faire à ce sujet ». Apparemment, Mourinho n’a toujours pas écouté les conseils de l’Alsacien.

http://www.le10sport.com/buzz/arsenal-clash-quand-wenger-repond-aux-provocations-de-mourinho190411

mardi 26 mai 2015

Et si Xavi signait au… PSG !



 



 Barcelone remporte le 23e titre de son histoire en Liga.
 
Barcelone remporte le 23e titre de son histoire en Liga. (Reuters)



Une semaine seulement après avoir annoncé son départ du Barça pour rejoindre le Qatar, l’avenir de Xavi pourrait prendre un nouveau virage. Le PSG espère en effet se faire prêter le joueur par le club d’Al-Sadd, annonce Le Parisien. Un prêt sur le modèle de celui de Lampard à Manchester City…
De Barcelone à Paris en passant par le Qatar… Le Paris Saint-Germain a peut-être trouvé une nouvelle parade au fair-play financier qui le handicape lourdement. Les dirigeants du PSG travaillent en tout cas très activement au recrutement de Xavi Hernandez, l’icône du Barça, affirme Le Parisien. Laurent Blanc rêve évidemment de travailler avec un joueur qui incarne à ce point la philosophie de jeu du Barça, la référence absolue pour l’entraîneur parisien. 


Et pour parvenir à ses fins, le triple champion de France compte se faire prêter le joueur pour une saison. Techniquement, ce n’est pas compliqué du tout puisque le club d’Al-Sadd appartient au frère de l’émir du Qatar Tamin bin Hamad al-Than, le propriétaire du PSG. Le club francilien n’aurait pas forcément à débourser d’argent et le salaire pourrait être pris en charge, en partie ou totalement, par Al-Sadd… Voilà qui apparaît très opportun alors que le fair-play financier va desserrer son emprise dans un an. Une option déjà utilisée par Manchester City pour le recrutement de Frank Lampard, prêté par le New York City FC.

Xavi avait négocié de partir au Qatar en famille avec sa femme, ses enfants, sa sœur et ses frères engagés à l’académie Aspire, tout ce beau monde aurait alors l’opportunité de rester un an de plus à Barcelone. Il reste évidemment à connaître la position du joueur. Car du côté du PSG, l’apport de Xavi, passeur génial à la vision du jeu parfaite qui possède une expérience et un palmarès hors norme, serait indéniable. A tous les points de vue.
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Real: Rafael Benitez, le grandissime favori



 



 Rafael Benitez.
 
Rafael Benitez. (Reuters)



Le timing est parfait. Quelques jours après avoir rompu son contrat avec Naples, Rafa Benitez s’est transformé en candidat numéro un pour remplacer, à la tête du Real Madrid, un Carlo Ancelotti dont le sort a été scellé lundi soir. Il devrait être confirmé la semaine prochaine par Florentino Perez.
"Benitez sera l’entraîneur du Real Madrid à 99%." Le propos est signé d'Ernesto Bronzetti, l’agent de Carlo Ancelotti qui vient de multiplier les réunions avec Florentino Perez… La fin de l’ère pour "Carletto" qui aura duré deux ans avec une Ligue des champions à la clé et la pacification d’un vestiaire en flammes après le départ de José Mourinho.

Une succession qui s’annonce d’ores et déjà compliquée… A peine est-il parti que tout le monde, ou presque, au Real Madrid le regrette déjà. A part peut-être un Florentino Perez qui a agi afin de donner "une nouvelle impulsion" à un club qui n’aura gagné "que" la Coupe du monde des clubs cette saison. Mais rien pour l’instant en 2015, alors que le Barça peut encore s’offrir un triplé.

C’est un petit peu comme si le cauchemar des années Guardiola rejaillissait pour le président du Real, qui a donc fini par trancher. Mais entretemps, ce qu’il craignait est arrivé puisque lors du dernier match, les soutiens à "Carletto" se sont multipliés avec des chants à sa gloire venus des tribunes, mais également des marques d’attention dans tous les sens de la part des joueurs, qui ont multiplié les photos et les déclarations favorables à Ancelotti. Il est resté classe jusqu'au bout en remerciant le club et ses supporters, notamment via Twitter ("Je conserve le souvenir de deux années fantastiques. Merci au club, aux supporters et à mes joueurs. Hala Madrid.")

Oui mais voilà, la décision était prise depuis un petit moment et le président, qui a cumulé 9 entraîneurs en 12 ans, n’a pas souhaité faire machine arrière. Le nom de Rafa Benitez résonne depuis quelques jours avec beaucoup d’insistance, mais le favori des sondages, notamment sur Marca, n’était autre que Jürgen Klopp. Sauf que l’entraîneur du Borussia souhaiterait prendre 6 mois de repos avant de retrouver un banc. De plus, Perez a confirmé qu’il souhaitait recruter un entraîneur qui parle espagnol…

Rafa Benitez semble en pole position, bien loin devant Michel, l’ancien de l’Olympiakos. L’incertitude ne durera pas puisque la confirmation est attendue pour la semaine prochaine.

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lundi 25 mai 2015

Real Madrid : Carlo Ancelotti limogé


Comme pressenti, Carlo Ancelotti a été démis de ses fonctions d'entraîneur du Real Madrid. L'annonce a été faite lundi soir par le président du club merengue. Le nom de son successeur devrait être connu la semaine prochaine.


Carlo Ancelotti ne restera pas une troisième saison consécutive sur le banc du Real Madrid. (Reuters)

Carlo Ancelotti ne restera pas une troisième saison consécutive sur le banc du Real Madrid. (Reuters)
Florentino Perez, le président du Real Madrid, a annoncé lundi lors d'une conférence de presse que Carlo Ancelotti était démis de ses fonctions. «Cela n'a pas été une décision facile à prendre mais nous devons donner une nouvelle impulsion à l'équipe pour conquérir de nouveaux titres», s'est justifié Perez.
Le limogeage de Carlo Ancelotti était attendu. Le technicien italien, arrivé au Real Madrid en 2013, avait remporté dès sa première saison la «Decima», la dixième Ligue des champions tant espérée par les Madrilènes. En revanche, cette saison, le Real n'a remporté aucun titre majeur; il a dû se contenter de la Supercoupe d'Europe et du Mondial des clubs. Les Madrilènes ont terminé deuxièmes de Liga et demi-finalistes de la Ligue des champions.
Florentino Perez a indiqué que le nom du successeur de l'ex-entraîneur du PSG serait connu la semaine prochaine. «Ce serait idéal qu'il parle espagnol», a précisé le dirigeant.
 
lequipe.fr

Real Madrid : Ancelotti limogé


Carlo Ancelotti a été démis de ses fonctions.  (L'Equipe)

Carlo Ancelotti a été démis de ses fonctions. (L'Equipe)

Florentino Perez, le président du Real Madrid, a annoncé ce lundi que Carlo Ancelotti était démis de ses fonctions. «Cela n'a pas été une décision facile à prendre mais nous devons donner une nouvelle impulsion à l'équipe pour conquérir de nouveaux titres», s'est justifié Perez.

Real Madrid: Perez va annoncer le départ d'Ancelotti


 


 Carlo Ancelotti
Reuters

Florentino Perez, attendu devant la presse à 20 heures, devrait annoncer le départ de Carlo Ancelotti, à en croire les informations de Marca. Le technicien italien, sous contrat jusqu'en juin 2016, paierait l'échec du Real Madrid à la fois en Ligue des champions, éliminé en demi-finales par la Juventus, et en Liga, devancé par le FC Barcelone.

sports.fr

Real : le sort d'Ancelotti réglé ce lundi !

 




Les heures de Carlo Ancelotti à la tête du Real Madrid sont comptées ! Annoncé sur le départ depuis plusieurs semaines après une saison blanche, le technicien italien va rencontrer son président Florentino Perez dans l'après-midi selon les informations du quotidien Marca. Lors de cet entretien, le patron de la Maison Blanche devrait signifier son licenciement à l'ancien coach du Paris Saint-Germain.

Suite à ce rendez-vous, Florentino Perez va tenir une conférence de presse à 19h30. Normalement, le président du Real Madrid va annoncer la fin de la collaboration des Merengue avec Carlo Ancelotti. Une chose est sûre, l'avenir de l'entraîneur italien sera décidé ce lundi.
par Damien Da Silva
 
 

Barça, un maillot polémique

 

Le maillot du FC Barcelone pour la saison 2015-2016.
 
Twitter
Pour la première fois de son histoire, le FC Barcelone arborera une tunique principale avec des rayures horizontales aux couleurs blaugranas. Un crime pour certains.
Le FC Barcelone a profité des célébrations pour le titre de champion d'Espagne 2014-2015 pour présenter son nouveau maillot principal. Cette tunique, que les Blaugranas porteront la saison prochaine lors de la plupart de leurs matches, n'a pas mis longtemps a être critiquée par les puristes.
Et pour cause, c'est la première fois de son histoire que le club catalan évoluera avec un maillot comportant des rayures horizontales remplies des couleurs blaugranas. Après l'apparition d'un sponsor (Qatar Airways) en 2011, ce choix contre-nature pour une formation qui existe depuis 1899 a soulevé l'indignation de certains socios et des simples observateurs sur les réseaux sociaux. Cela empêchera-t-il pour autant le Barça de vendre un nombre considérable de maillots ? Pas sûr du tout...

sports.fr

mercredi 20 mai 2015

Appel à candidatures : l’Arabie Saoudite recrute huit bourreaux


Appel à candidatures : l’Arabie Saoudite recrute huit bourreaux


L’Arabie Saoudite est à la recherche de huit fonctionnaires religieux, ou plus précisément de bourreaux.
L’Etat du Golfe a besoin de personnel supplémentaire pour gérer l’augmentation du nombre de condamnations à mort, le plus souvent menées par décapitation publique.

Sur Twitter on s’amuse de cette opportunité de carrière: “Hey, voulez-vous devenir bourreau? Huit postes sont disponibles en Arabie Saoudite. Postulez rapidement pour ce plan de carrière évolutif”.
L’annonce (en arabe) explique que les exécutions seront faites par sabre. Le travail peut également impliquer de pratiquer des amputations pour les personnes reconnues coupables d’infractions mineures. Aucune qualification particulière n’est demandée.
Selon l’agence de presse officielle saoudienne, le pays a déjà décapité sa 85e victime dimanche. Selon un rapport d’Amnesty International sur la peine de mort de 2014 le nombre de condamnations en 2015 est en hausse. L’an dernier le nombre total des exécutions s‘élevait à 90.
La plupart des exécutés ont été condamnés pour meurtre. Trente-huit d’entre eux ont commis des infractions relatives aux drogues. La moitié viennent d’Arabie saoudite et les autres sont principalement originaires du Pakistan, du Yémen, de la Syrie, de la Jordanie, de l’Inde, de l’Indonésie, de la Birmanie, du Tchad, de l’Érythrée, des Philippines ou du Soudan.
Les diplomates ont justifié l’augmentation de ce nombre en expliquant qu’il y a eu une recrudescence de juges nouvellement nommés. Ce qui permet de traiter les arriérés des dossiers d’appel.
Un travail mal rémunéré. Un formulaire PDF téléchargeable pour l’offre d’emploi annonce que la rétribution de ces nouveaux bourreaux se situe en bas de l‘échelle des salaires de la fonction publique.

http://fr.euronews.com/2015/05/19/appel-a-candidatures-larabie-saoudite-recrute-huit-bourreaux/

mardi 19 mai 2015

Saison ratée pour le Real ?

Saison ratée pour le Real ?
 
Repositionné au milieu à l'aller, Sergio Ramos a été l'un des symboles de la baisse de régime du Real contre la Juve. © AFP PHOTO / DANI POZO 
 

Habituée à rafler des titres, l'équipe de Carlo Ancelotti ne remportera probablement que la Coupe du monde des clubs cette saison. Un échec pour un club de cette envergure.    

La Maison Blanche va-t-elle connaître une saison quasi-blanche ? Vainqueurs du mondial des clubs en décembre dernier, à l'époque, les Madrilènes étaient loin de se douter qu'ils allaient en rester là. C'est pourtant quasiment certain depuis mercredi soir et leur élimination surprise en demi-finale de la Ligue des Champions contre la Juventus de Turin. Distancés de quatre points par Barcelone à deux journées de la fin en championnat, éliminés de la Coupe du Roi, ne restait que la plus prestigieuses des coupes européennes aux équipiers de Benzema pour espérer ne pas finir cette saison bredouille. C'est raté. Une chose est sûre maintenant, le Real, habitué à tout gagner, est bien en crise.     
De la croisière à la galère. Six mois durant, l'exercice 2014-2015 du Real Madrid s'est pourtant déroulé sans anicroche. L'équipage renforcé par les arrivées galactiques de James Rodriguez et de Toni Kroos, le luxueux paquebot madrilène a immédiatement pris son rythme de croisière. Une croisière paisible, où les cartons en Liga succèdent aux démonstrations en phase de poules de la Ligue des Champions (6 matches et autant de victoires). Portés par la decima remportée la saison précédente, transcendés par les performances de son soliste en chef Cristiano Ronaldo, les madrilènes semblent imperturbables et voguent sans sourciller vers une fin de saison excitante.
L'Atletico instille le doute. Il aura suffi de quelques remous, anodins à l'origine, pour transformer la croisière en galère. Où situer la genèse de cette fin de saison cruelle pour le Real ? A l'aube de 2015, à quelques encablures du Santiago Bernabéu, puisque c'est chez les frères ennemis de l'Atletico de Madrid que les merengues ont pour la première fois trébuché. Une défaite 2-1 au Vicente Calderon, et une tendance confirmée, une semaine plus tard, à domicile, où les hommes d'Ancelotti concèdent le nul. Ils quittent donc prématurément la Coupe du Roi sur un derby perdu, sans se douter qu'ils y ont aussi abandonné le souffle qui les avait portés notamment contre Liverpool (victoire éclatante 3-0).
Un des matches européens où le Real s'est montré le plus impressionnant cette saison
Schalke 04 fait paniquer Bernabeù. Un mois et quatre victoires convaincantes plus tard, le Real croise à nouveau la route des équipiers d'Antoine Griezmann, en championnat cette fois-ci. La défaite, 4-0, est cinglante. Elle instille un peu plus le doute dans les rangs du Real, qui s'interroge sur sa capacité à gagner contre les "gros" en Espagne et en Europe. Les murs de la Maison Blanche sont à peine lézardés, mais le Real va être sérieusement ébranlé sur une autre rencontre, un mois plus tard. Trop confiant sûrement après sa victoire 2-0 en Allemagne, le Real se fait peur et perd le match retour 4-3 à domicile, grâce à une superbe prestation d'un ancien de la maison, Klaas-Jan Huntelaar, auteur d'un doublé.
La Juve termine le travail. Avec une victoire au bout du suspense contre l'Atletico (0-0, 1-0 a.p) en quart de finale de la Ligue des Champions, on croyait les madrilènes guéris, le mauvais sort évanoui. Mais Morata, un autre ancien de Bernabeù, parti à la Juve, se charge de définitivement tuer les ambitions européennes du Real. Buteur à l'aller et au retour, il élimine Madrid en demi-finale, au terme de deux belles rencontres où les merengues n'ont pas pu masquer leurs lacunes collectives (2-1, 1-1). A moins d'un miracle, ils ne remporteront pas la Liga cette année, promise au Barça. A ce titre-là, et malgré les déclarations d'amour de Carlo Ancelotti, "Je veux rester au Real" a-t-il une nouvelle fois affirmé après l’élimination contre la Juve, pas sûr que le technicien italien reste sur le banc madrilène. Côté pelouse, Iker Casillas, très contesté et Gareth Bale, monsieur "100 millions d'euros", sont également sur la sellette. Et on peut compter sur Florentino Perez, le très ambitieux président merengue, pour tout chambouler la saison prochaine si besoin est.

Europe 1

mardi 12 mai 2015

Un patron chinois invite 6400 de ses salariés en vacances

media 
 
 
 Les employés du groupe Tiens sur la Promenade des Anglais, à Nice, vendredi 8 mai 2015. AFP PHOTO / VALERY HACHE
 
Un PDG chinois invite ses 6 400 salariés en vacances en France. Un record. Jamais un voyage de cette importance n'a été organisé en France.

Alors que la vieille Europe n'en finit pas d'enchaîner fermetures d'usines et licenciements, en Asie, des salariés chinois sont chouchoutés par leur patron. Ce patron, c'est Monsieur Li Jinyuan, président du conglomérat Tiens, une multinationale spécialisée dans le commerce, le tourisme, la finance et l’e-business. Milliardaire, et 24e fortune chinoise, Monsieur Li aime visiblement ses salariés au point de partir en vacances avec eux. Destination : la France pour quatre jours de détente, deux à Paris et deux à Nice, sur la Côte d'Azur. A l'occasion des 20 ans de son entreprise, Monsieur Li a voulu récompenser ses 6 400 meilleurs vendeurs.

Ce voyage exceptionnel nécessite une logistique à la hauteur. C'est à bord de 84 vols commerciaux que les salariés chinois ont débarqué le 5 mai à Paris. Un enjeu de taille pour les autorités françaises. Atout France, qui assure la promotion de la France à l'étranger, était sur le pied de guerre. Dès l'aéroport, les formalités et les transferts ont été pris en charge afin de faciliter leur arrivée. Rien n'a été laissé au hasard. Monsieur Li a même eu droit au tapis rouge : le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a reçu en personne l'homme d'affaires chinois en milieu de semaine, et salué son initiative, la qualifiant « d'extrêmement intéressante sur le plan culturel, sur le plan des échanges, sur le plan économique aussi ».

Un séjour hors norme
Si ce voyage est un défi pour les professionnels du secteur, il représente aussi une opportunité. Un congrès de cette ampleur rime avec business juteux. Tel Oncle Picsou dont les yeux brillent à la vue de ses dollars, les yeux des professionnels du tourisme s'illuminent tout autant quand des patrons chinois organisent leurs congrès à Paris. Des clients comme monsieur Li, ils en veulent tous les jours. Pour la venue de ce groupe hors norme, 30 000 nuitées dans 140 hôtels de trois ou quatre étoiles ont été réservées. Les directeurs, eux, ont préféré les palaces parisiens et monégasques.

Pour leur dîner dans la capitale, les salons d'un très grand pavillon près de l'Opéra Garnier ont été retenus. Le Musée du Louvre a été privatisé durant quelques heures. La SNCF leur a vendu 7 600 billets pour leur séjour à Nice où, le soir, un grand spectacle les attendait. Il faut également ajouter les frais liés à leur convention d'entreprise. En comptant la location d'une salle équipée de dix écrans géants et la réquisition de 146 bus pour les déplacements dans la région, les retombées économiques de ce séjour ont été estimées selon les sources à entre 13 et 20 millions d'euros. Sans oublier le shopping, activité dont sont friands les touristes chinois qui sont aussi les plus dépensiers au monde, avec en moyenne 1 500 euros par personne.

Monsieur Li a fait les choses en grand. Car 6 400 touristes débarquant en France, ça ne passe pas inaperçu. Et ce n'est surtout pas le but. Ce fut une belle opération de communication. La presse nationale et internationale a abondamment relayé les largesses de monsieur Li qui a battu un autre record, celui de la plus longue phrase humaine vue du ciel. A Nice, ses 6 400 employés, vêtus de bleu, ont envahi la fameuse Promenade des Anglais, qui à ce rythme-là pourrait un jour devenir la Promenade des Chinois. Chacun d'entre eux s'est placé sur des repères fixés au sol pour écrire : « Tiens, dream is Nice sur la Côte d'Azur », le tout sous l'œil des experts du Guiness Book. En marge de la performance, Monsieur Li s'est même offert un défilé à bord d'une jeep américaine de la dernière guerre. Jour de la commémoration du 8 mai 1945, le milliardaire saluait la foule.
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  Beauté Parfum, eau de parfum et eau de toilette : quelle est la différence entre ces fragrances ?   par  Virginie Incerto Crédits photos :...