Ligue des Champions : le Real a-t-il encore une chance ? Présentation et équipes probables

 

Par Pierre-Damien Lacourte - Actu Champion's League

 

Corrigé 4-1 à l'aller en Allemagne, le Real Madrid espère malgré tout encore priver le Borussia Dortmund d'une finale de Ligue des Champions qui lui tend les bras. Mais au regard des statistiques des deux équipes cette saison, l'espoir est vraiment très mince pour les Merengue.

Le Real et Ronaldo peuvent-ils encore s'en sortir ?

«Il n'y a pas de plus grande motivation que de jouer une finale de Ligue des Champions. Cela fait huit ans que je suis là et je n'en ai jamais jouée. Rien ne serait plus beau», ne cache pas Sergio Ramos. Mais pour atteindre la finale de la Ligue des Champions, le Real Madrid devra réaliser un authentique exploit à Bernabeu ce mardi à l'occasion des demi-finales retour (20h45).

Car les Merengue sont bien mal embarqués après leur lourde défaite à l'aller sur la pelouse du Borussia Dortmund (1-4). Malgré tout, les Madrilènes sont bien décidés à remonter leur handicap. Bien décidés, c'est normal, mais peuvent-ils le faire ? Au regard du parcours des deux équipes cette saison, on n'est pas très optimistes pour les hommes de José Mourinho.

Le Borussia encore invaincu en C1 cette saison

Déjà rien que pour ce qui est des confrontations directes. Avant ce 4-1, le Borussia avait déjà battu le Real sur sa pelouse (2-1), lors de la phase de poules de la C1, avant d'aller décrocher le nul à Madrid (2-2). Ensuite, contrairement au Real, qui compte déjà 3 défaites, le Borussia est encore invaincu en Ligue des Champions cette saison (7 victoires et 4 nuls en 11 sorties).

Quand on regarde l'indice Maxifoot de forme (voir le classement ici) des deux équipes, celui du Real n'est que de 66/100, alors que Dortmund affiche un exceptionnel 100/100. Seul le Bayern Munich fait aussi bien. Alors certes, Madrid fait mieux avec 63% de matchs gagnés toutes compétitions confondues cette saison, mais le Borussia le marque à la culotte avec 62% (voir le classement ici).

Le Real l'a déjà fait

Idem pour ce qui est des buts marqués par match. Avec une moyenne de 2,44 buts/match, le Real possède la 3e meilleure attaque des cinq plus gros championnats européens. Mais le Borussia apparaît... au 4e rang, avec 2,38 buts/match. Et la défense alors ? Les deux équipes sont là dos à dos avec chacune une moyenne de 1,09 but encaissé par match.

Alors, existe-t-il une raison d'y croire encore pour le Real ? Oui, une, l'expérience. Madrid, qui dispute sa 24e demi-finale de Ligue des Champions, a déjà réussi par trois fois à se sortir d'une telle situation : contre Derby County (1-4, 5-1) en 1975-76, face à Anderlecht (0-3, 6-1) en 1984-85, et contre le Borussia Mönchengladbach (1-5, 4-0) en 1985-86. Jürgen Klopp a peut-être raison de rester sur ses gardes.

Les équipes probables :

Real Madrid : Diego Lopez - Essien, Varane, Sergio Ramos, Coentrao - Xabi Alonso, Khedira - Di Maria, Özil, Cristiano Ronaldo - Benzema.

Borussia Dortmund : Weidenfeller - Piszczek, Subotic, Hummels, Schmelzer - Bender, Gündogan - Blaszczykowski, Götze, Reus - Lewandowski.

Et pour vous, le Real peut-il encore se qualifier pour la finale de la C1 ? N'hésitez pas à réagir dans la rubrique Commentaires ci-dessous.

Real : Sergio Ramos a "faim de revanche"

Lourdement battu à l'aller sur la pelouse du Borussia Dortmund (1-4), le Real Madrid veut renverser la vapeur en demi-finale retour de la Ligue des Champions. Et notamment le défenseur central Sergio Ramos (27 ans, 8 matchs en C1 cette saison), qui a indiqué avoir "faim de revanche". "Après le match aller, nous avons beaucoup réfléchi, tiré des conclusions, négatives pour la plupart, et l'équipe possède l'envie et la confiance nécessaires pour remonter le résultat très défavorable de l'aller", a déclaré l'international espagnol en conférence de presse. Coup d'envoi de Real-Dortmund ce mardi à 20h45 à Bernabeu. (Par Candice Heck)

Dortmund : Lewandowski partira mais pas à Munich

L'attaquant du Borussia Dortmund Robert Lewandowski (24 ans, 28 matchs et 23 buts en Bundesliga cette saison), auteur d'un quadruplé face au Real Madrid en Ligue des Champions (4-1) mercredi dernier, devrait bien quitter la Ruhr cet été mais pas en direction du Bayern Munich pourtant intéressé. "Nous sommes parvenus à un accord avec un autre club et Robert va changer d'équipe cet été. Il y a en effet une offre qui satisfait à la fois Robert et les critères du BvB. Le Borussia nous a déjà assuré qu'il laisserait partir le joueur sous ces circonstances", a confié l'agent du joueur Maik Barthe au média SportBild ce dimanche. Si les dirigeants du Bayern ont affirmé qu'il n'y avait rien de conclu avec l'attaquant polonais, le Daily Mail rapporte ce dimanche que Manchester United aurait pris une longueur d'avance et serait disposé à verser les 30 millions d'euros requis. (Par Maxime Deloffre)

LdC : Beckenbauer craint les méthodes du Barça

Avec une large victoire en demi-finale aller de la Ligue des Champions face au FC Barcelone (4-0), le Bayern Munich aborde plus sereinement le match retour de mercredi. Le président d'honneur du club bavarois, Franz Beckenbauer, s'attend toutefois à quelques mauvais tours des Blaugrana. "Le Barça va tout tenter pour remporter le match. Ils vont provoquer et essayer tous les tours qu'ils connaissent, qu'ils soient autorisés ou interdits. Ils vont tout donner parce qu'ils ont été blessés dans leur orgueil au match aller", a déclaré l'ancien international allemand dans les colonnes de Bild. Des propos qui devraient faire monter la température à l'approche de la rencontre... (Par Romain Rigaux)

Bayern Munich: Heynckes, plan B du Barça ?

Jupp Heynckes. (Reuters)

Il est acquis que Jupp Heynckes quittera le Bayern Munich à la fin de la saison, officiellement pour prendre sa retraite. Mais après sa saison exceptionnelle avec le club bavarois, sa cote est remontée dans toute l'Europe. Selon le média allemand TZ, le FC Barcelone penserait au coach allemand au cas où Tito Vilanova ne serait pas en état de repartir pour une nouvelle saison avec le club catalan.

Une radio espagnole annonce un accord Real-Ancelotti

Carlo Ancelotti reste d'un calme olympien. (Reuters)

Carlo Ancelotti-Real Madrid, suite.

 La radio Cadena Cope annonçait dimanche soir, dans son émission Temps de jeu, qu’il existait un accord (non signé) entre le club espagnol et l’entraîneur du Paris Saint-Germain. Une information qui confirme celles publiées la semaine dernière, comme la volonté de départ du technicien italien ou les rencontres entre ce dernier et l’ancien coach de l’AC Milan et de Chelsea.
Cadena Cope confirme que Jose Mourinho ne poursuivra pas au Real Madrid la saison prochaine et que le choix d’Ancelotti est justifié par la grande expérience de l’Italien, considéré comme une valeur sûre par les dirigeants de la Maison Blanche. Jürgen Klopp, André Villas-Boas, et Michael Laudrup se sont également trouvés, toujours selon la radio, dans le viseur du club de Florentino Perez.
Enfin, Cadena Cope affirme qu’une rencontre entre Carlo Ancelotti et le Real Madrid est prévue prochainement. Samedi, à la veille d’Evian TG-PSG (0-1), l’entraîneur de la capitale avait affirmé au sujet de son avenir: "Je ne peux pas dire à 100% que je serai à Paris la saison prochaine."

Ligue des champions: le Real suspendu à la cuisse de Ronaldo avant Dortmund

Le Real Madrid, contraint de réaliser une remontée épique après la leçon infligée par Dortmund (4-1) en demi-finale aller de la Ligue des Champions, suit fébrilement l'évolution de la blessure à une cuisse de son attaquant Cristiano Ronaldo, incertain pour le retour de mardi à Bernabeu. | Pierre-Philippe Marcou

Le Real Madrid, contraint de réaliser une remontée épique après la leçon infligée par Dortmund (4-1) en demi-finale aller de la Ligue des Champions, suit fébrilement l'évolution de la blessure à une cuisse de son attaquant Cristiano Ronaldo, incertain pour le retour de mardi à Bernabeu.
Victime d'un problème musculaire mercredi dès l'échauffement précédant le choc, le Portugais est engagé dans une course-poursuite afin d'être disponible pour tenter de renverser la vapeur contre les Allemands.

Si le Ballon d'Or 2008, qui n'a pas disputé une minute du derby madrilène contre l'Atletico samedi (victoire du Real 2-1), a repris le chemin de l'entraînement en solitaire dimanche, il subsiste un doute pour le duel de mardi.
Un forfait de Ronaldo, meilleur artificier de l'actuelle C1 (12) et auteur du but de l'espoir au Signal Iduna Park à l'aller après un bon service d'Higuain, serait un énorme coup dur pour les Merengue.
Même si l'ailier gauche n'avait pas franchement brillé lors du match aller, se cassant notamment les dents sur l'arrière droit de Dortmund Lukasz Piszczek, il reste le principal atout des Madrilènes.
"Je ne parlerai pas maintenant, je parlerai mardi", avait rugi le Portugais après la gifle reçue à l'aller dans la Ruhr, preuve de sa motivation extrême en prévision du match retour.
Mais dans le cas d'un forfait de l'ailier, "l'opération remontée", dont la presse espagnole parle depuis jeudi dernier, serait déjà presque mort-née.
Comme Butragueno en 1984?
Chaque prouesse du Real en Ligue des Champions possède en effet son héros: Valdano et Santillana en 1986 contre Mönchengladbach (victoire 4-0 après une défaite 5-1 à l'aller), Butragueno en 1984 contre Anderlecht (succès 6-1 contre Anderlecht après un revers 3-0).
Il se passe en effet rarement un match sans que l'international portugais - semblable en cela à son grand rival Messi - ne marque: en Liga, Ronaldo émarge ainsi à 31 réalisations, battu seulement par le petit argentin du Barça, crédité lui de 44 buts.
Et si le Portugais pouvait la saison dernière se reposer sur les avant-centres Benzema et Higuain, il semble cette année que l'influence de "Cristiano" ait encore augmenté avec la méforme des deux pointes des Blancs.
Après avoir commencé la saison timidement - le numéro 7 des Blancs avait en effet avoué une mystérieuse tristesse qu'il n'avait jamais vraiment explicitée - Ronaldo est allé crescendo, au point de totaliser notamment 12 buts en C1. Soit seulement deux de moins que le record de la compétition, détenu par Messi et l'Italo-Brésilien du Milan des années 1960, José Altafini.
Des chiffres qui incitent aussi le Real à voir plus loin que le match retour et à évoquer le renouvellement du contrat de sa vedette, lié au club jusqu'en juin 2015.
Devant l'incertitude planant sur l'entraîneur madrilène José Mourinho, donné partant, et face à l'inconnue d'une possible connexion entre les deux hommes - qui possèdent le même agent - le Real aimerait prendre les devants et consolider les attaches de Ronaldo au club Merengue.
Dans l'immédiat, le public de Santiago-Bernabeu a toutefois un autre souci, encore plus brûlant: la cuisse gauche de son Jupiter portugais.

Journal des Transferts : le chant du cygne pour Ancelotti, Leonardo ferme des portes, un OM made in France...

Par Romain Rigaux - Journal Des Transferts

Le chant du cygne pour Ancelotti, Leonardo ferme des portes, un OM made in France, le Bayern veut piller Dortmund, la valse des entraîneurs en L1... Voici le Top 5 des gros dossiers mercato de la semaine à ne pas manquer. Découvrez aussi le Télégramme Foot Transfert, pour ne rien rater de l'actu de ces derniers jours.

Ancelotti aurait décidé de quitter le PSG cet été

Pour suivre au plus près les transferts, Maxifoot vous propose chaque samedi le Journal des Transferts de la semaine avec un point complet sur les dernières infos transferts. Même hors période de mercato, les clubs s'activent ! Pour toujours plus d'informations sur les transferts, n'oubliez pas de lire les brèves du jour et les articles d'actualité, complémentaires du JdT.

Le TOP 5 des dossiers de la semaine qu'il ne fallait pas rater

1 - Le chant du cygne pour Ancelotti

Carlo Ancelotti sera-t-il toujours l'entraîneur du Paris Saint-Germain la saison prochaine ? C'est en tout cas le souhait du club de la capitale, mais pas forcément celui du technicien italien. «On veut que Carlo reste. Mais on doit d'abord gagner le Championnat, c'est la priorité absolue. Ensuite, ce sera à Carlo de se décider, de voir s'il veut continuer ou pas sur le banc du PSG» , a déclaré Leonardo à L'Equipe.

Le PSG ne semble plus avoir totalement la main sur ce dossier et le coach parisien aurait d'ailleurs décidé de ne pas poursuivre. La raison ? Le Real Madrid en aurait fait sa priorité pour remplacer José Mourinho cet été et cet intérêt ne le laisserait pas insensible. Une source proche du dossier indique même que l'affaire est avancée «à 90% avec le Real» . Paris serait donc déjà à la recherche de son successeur et les noms d'Arsène Wenger et José Mourinho reviennent avec insistance. Le premier est toutefois sous contrat jusqu'en 2014 avec Arsenal, et le second est fortement pressenti à Chelsea...

2 - Leonardo ferme des portes

L'actualité des transferts est riche cette semaine du côté du Paris Saint-Germain, mais cette fois-ci du côté des départs. Annoncé possible partant cet été, Leonardo a affirmé qu'il serait toujours dans la capitale la saison prochaine, tout comme Zlatan Ibrahimovic malgré la volonté de la Juventus Turin d'enrôler le Suédois. Respectivement annoncés sur les tablettes du Real Madrid et du Milan AC, Marco Verratti et Ezequiel Lavezzi ne bougeront pas, selon le directeur sportif parisien.

Alors que des portes se ferment, les joueurs courtisés sont de plus en plus nombreux au sein du PSG. Le Barça pourrait par exemple tenter d'attirer Thiago Silva, mais un départ semble improbable cet été. De son côté, Gregory Van der Wiel a annoncé son intention de rester malgré l'intérêt de l'Inter Milan. Courtisé par la Juventus Turin, Maxwell ne devrait également pas bouger. En revanche, les choses pourraient être différentes pour Kevin Gameiro et Jérémy Ménez, courtisés respectivement par Lyon et Monaco.

3- Un OM made in France ?

Malgré son manque de moyens financiers, l'Olympique de Marseille parvient pour le moment à conserver sa 2e place au championnat et peut rêver d'une qualification pour la prochaine Ligue des Champions. En cas de réussite, le club phocéen ne compte toutefois pas faire de folies durant le mercato. Alors que le PSG a les moyens de s'offrir des grandes stars étrangères, l'OM devrait se focaliser sur le marché français. Les Lorientais Jérémie Aliadière, Maxime Bathelme et Bruno Ecuele-Manga, plaisent notamment beaucoup à José Anigo.

Mais le regard des dirigeants olympiens n'est pas uniquement tourné vers la Bretagne puisque les noms du Stéphanois Yohan Mollo (prêté par Nancy), des Montpelliérains Benjamin Stambouli, Rémy Cabella et Henri Bédimo, du Toulousain Franck Tabanou, du Valenciennois Nicolas Isimat-Mirin et du Niçois Eric Bauthéac, seraient également sur les tablettes marseillaises. Fan de l'OM, le dernier cité a toutefois laissé entendre qu'il ne quitterait pas Nice cet été.

4 - Le Bayern veut piller Dortmund

Au vu des résultats des demi-finales aller de la Ligue des Champions, la finale pourrait bien être 100% allemande entre le Bayern Munich et le Borussia Dortmund. Les Bavarois connaissent bien la valeur de ce possible adversaire et envisage même de l'affaiblir cet été. La future formation de Josep Guardiola a déjà réalisé un gros coup en bouclant le transfert de la pépite Mario Götze, dépensant au passage 37 millions d'euros.

Le club munichois ne compte toutefois pas s'arrêter là puisqu'il souhaite aussi mettre le grappin sur Robert Lewandowski, fortement pressenti en Bavière depuis plusieurs semaines. Les Jaune et Noir ne sont toutefois pas vraiment chauds pour renforcer encore plus leur rival et seraient même prêts à laisser partir le Polonais gratuitement à la fin de son contrat dans un an. A moins qu'ils ne décident de l'envoyer à Manchester United qui est également sur les rangs...

5 - La valse des entraîneurs en L1

Alors que le départ de Carlo Ancelotti semble se préciser, certains de ses collègues en Ligue 1 sont en revanche déjà fixés sur leur sort. C'est notamment le cas de René Girard, qui quittera Montpellier à la fin de la saison. Son remplaçant est déjà désigné puisque Louis Nicollin a choisi Jean Fernandez. Le coach montpelliérain est quant à lui cité du côté de Rennes. Le club breton va en effet perdre Frédéric Antonetti cet été. Les noms d'Antoine Kombouaré, Raymond Domenech et Philippe Montanier ont également circulé en Bretagne. Le dernier cité serait toutefois proche de prolonger avec la Real Sociedad.

Télégramme Foot Transfert - mis à jour le samedi 27 avril 2013 à 12h

C'est officiel :

- Le milieu offensif Mario Götze va quitter Dortmund pour le Bayern Munich. Montant du transfert : 37 M€ !
- Jean Fernandez sera l'entraîneur de Montpellier la saison prochaine.
- Frédéric Antonetti quittera le banc de Rennes en fin de saison.
- Le défenseur Loïc Perrin a prolongé jusqu'en 2016 avec Saint-Etienne.
- Grégoire Puel a signé son premier contrat professionnel avec Nice.

Le TOP des bruits de couloir qu'il ne fallait pas rater :

En France

- L'AS Monaco aurait fait de l'attaquant parisien Jérémy Ménez sa priorité.
- Le FC Barcelone viserait le défenseur du PSG Thiago Silva.
- Lyon aurait contacté l'attaquant parisien Kevin Gameiro.
- Le prix du milieu Marco Verratti est fixé à 25 M€ mais le PSG n'est pas vendeur.
- L'Inter Milan est intéressé par le latéral du PSG, Gregory Van der Wiel, mais il ne compte pas quitter Paris.
- La Juventus Turin suivrait le latéral gauche parisien Maxwell.
- Le latéral droit Bacary Sagna a refusé une prolongation de contrat proposée par Arsenal. Le PSG et Monaco sont à l'affût.
- Le Milan AC aurait des vues sur l'attaquant parisien Ezequiel Lavezzi, mais le PSG ne compte pas le vendre cet été.

- Le gardien de l'Olympique de Marseille, Steve Mandanda, a écarté un départ à Monaco.
- Marseille et Monaco s'intéressent au défenseur central de Valenciennes, Nicolas Isimat-Mirin.
- Marseille songerait également à l'ailier Yohan Mollo en cas de départ d'André Ayew.
- Lisandro Lopez souhaiterait quitter Lyon cet été. Tottenham est prêt à accueillir l'attaquant argentin.
- Le Borussia Dortmund serait disposé à offrir 10 M€ pour l'attaquant stéphanois Pierre-Emerick Aubameyang.
- L'Inter Milan aurait fait du milieu lyonnais Clément Grenier l'une de ses priorités.
- Le Rubin Kazan pourrait offrir 8 M€ pour le défenseur de Lyon Dejan Lovren.
- Le latéral gauche Benoit Trémoulinas pourrait quitter Bordeaux cet été si son contrat n'est pas prolongé.
- Le milieu offensif de Montpellier, Rémy Cabella, serait dans le viseur de Lille.
- Monaco songerait à l'entraîneur espagnol Rafael Benitez pour la saison prochaine.

A l'étranger

- Le FC Barcelone souhaiterait six recrues : un gardien, un défenseur central, deux milieux et deux attaquants.
- Le gardien de l'Inter Milan, Samir Handanovic, serait la priorité du Barça pour remplacer Victor Valdès.
- Tottenham songerait au milieu du Barça, Alexandre Song.
- Le président du Real Madrid Florentino Pérez a annoncé que la prolongation de Cristiano Ronaldo était proche.
- Arsenal et Liverpool seraient prêts à verser 10 M€ pour l'ailier du Barça, Cristian Tello.
- Chelsea hésiterait entre deux attaquants : Mario Gomez (Bayern Munich) et Radamel Falcao (Atletico Madrid).
- Manchester City serait prêt à offrir un salaire annuel de plus de 15 millions d'euros à l'attaquant de Naples Edinson Cavani.
- Le latéral droit Douglas Maicon a démenti un départ de Manchester City cet été.

- Manchester United cherchera à vendre Nani et Anderson cet été.
- Le milieu de terrain de Manchester United Paul Scholes devrait prendre sa retraite en fin de saison.
- Joachim Löw serait en tête de liste à Arsenal en cas de départ d'Arsène Wenger en 2014.
- Liverpool serait prêt à offrir un salaire mensuel de 400 000 € net à l'attaquant de QPR Loïc Rémy.
- Galatasaray voudrait recruter le gardien du Real Madrid Iker Casillas, ainsi que les attaquants Hulk (Zénith Saint-Pétersbourg) et Zlatan Ibrahimovic (Paris SG).
- Fenerbahçe serait en contact avec l'attaquant français Nicolas Anelka (Juventus Turin).

A samedi prochain pour la prochaine édition du Journal des Transferts !

Avant la Coupe des Confédérations et le Mondial 2014, test grandeur nature pour le Maracana

Publié le 27/04/2013 à 12:55,

Le mythique stade Maracana de Rio de Janeiro, le temple du football brésilien, rouvre samedi après deux années de travaux avec un match-exhibition qui servira de test avant la Coupe des Confédérations en juin et la Coupe du monde l'an prochain.

 

 

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AFP Construit pour la Coupe du monde 1950 remportée par l'Uruguay, au grand dam de tout un peuple, le Maracana a fait l'objet d'une rénovation complète afin d'être prêt pour accueillir quatre matches de la Coupe des Confédérations en juin et sept matches de la Coupe du monde 2014, dont les finales des deux tournois. Samedi à 19h00 locales (22h00 GMT), des "amis" des anciennes stars Ronaldo et Bebeto, qui ont tous les deux gagné la Coupe du monde avec la Seleçao, joueront sur la pelouse du stade mythique devant 25.000 spectateurs, parmi lesquels 21.000 ouvriers ayant participé aux travaux et leur famille ainsi que la présidente du Brésil Dilma Rousseff.
Ce sera le premier de trois tests dans le nouveau complexe sportif de 78.838 sièges, avant le coup d'envoi de la Coupe des Confédérations à Brasilia le 15 juin. Un deuxième test est prévu le 15 mai avec l'utilisation de 50% de la capacité du stade, précédant l'inauguration officielle le 2 juin avec un match amical Brésil-Angleterre. "L'objectif du test est de vérifier les équipes, les installations et l'infrastructure afin que puissent être effectués éventuellement des ajustements avant le fonctionnement à pleine capacité du stade, lorsque le Maracana sera inauguré", a indiqué le gouvernement de l'Etat de Rio dans un communiqué.
200 .000 spectateurs en 1950
Le Maracana avait réuni près de 200.000 spectateurs (173.000 officiellement), record mondial, en juillet 1950, lors du dramatique match décisif Brésil-Uruguay (1-2) de la Coupe du monde, qui avait été vécu comme une catastrophe nationale. Il sera le cinquième des six stades du Brésil à être prêt pour la Coupe des Confédérations alors que la Fifa avait initialement fixé la date-butoir du 15 avril pour que tous les stades soient prêts. L'inauguration du stade de Brasilia de 71.000 places Mane Garrincha a été reportée au 18 mai à cause de fortes précipitations qui ont retardé la pose de la pelouse. Depuis 2007, l'Etat de Rio a investi 615 millions de dollars (470 M d'euros) au Maracana, l'un des plus grands stades du monde. Sa rénovation le transformera en un complexe comprenant des bars, des restaurants et des boutiques.
Jeudi ont été installés à l'intérieur du stade 28.000 sièges qui forment une mosaïque aux couleurs du drapeau brésilien. Vendredi, les opposants à la privatisation du stade ont de nouveau manifesté dans la rue et la police a utilisé des gaz lacrymogènes pour les disperser. Un groupe d'indigènes évacués en mars de l'ancien musée historique où ils avaient vécu depuis 2006 sont revenus dans ce bâtiment et ont déployé une banderole sur le toit pour protester contre la privatisation projetée. L'ancien musée, qui devait être démoli, a finalement été classé monument historique. Deux consortiums sont en compétition pour gérer pendant 35 ans le nouveau Maracana et ses abords. Huit pays participeront du 15 au 30 juin à la Coupe des Confédérations: le Brésil, l'Espagne, le Mexique, l'Uruguay, le Japon, l'Italie, le Nigeria et Tahiti.

Top 10 des signes qui montrent que la fin du règne de Messi, c’est maintenant

Par Topito | Topito Foot – mer. 24 avr. 2013 16:29 HAEC

 

Messi sur le déclin
credit photo : Ryu Voelkel

L'Argentin a livré l'un de ses plus mauvais matchs de sa carrière en demi-finale de la Ligue des Champions à Munich. Cadavérique et transparent, Lionel Messi n'a rien réussi. Du coup, on s'est évidemment dit que c'était la fin d'un règne, celui du Barça et de son génie. Ca sent le sapin footballistiquement parlant pour l'OGM le plus connu de l'histoire et on a des preuves, pleines de mauvaise foi...
1. Il ne porte plus son équipe à bout de bras comme "avant"
Contre le PSG ou le Bayern, Messi n'a pas vraiment pesé avec un unique pion en trois matchs. D'accord, c'est son entrée au retour contre Paris qui change la donne. Mais si on réfléchit bien, c'est surtout la fatigue des Parisiens et la peur de gagner qui ont permis aux Barcelonais de passer, nuance. Quand Messi tousse, c'est toute la Catalogne qui s'enrhume.
2. Le physique ne tient plus
Intouchable pendant quatre ans, l'Argentin semble cette fois-ci amoché pour de bon. La preuve, depuis sa blessure au Parc contre le PSG, Messi n'avait joué que trente petites minutes lors du match retour au Camp Nou, une gageure. Et contre le Bayern, on ne peut pas vraiment comptabiliser sa prestation, tant il a été invisible. Un signe qui ne trompe pas, il est cuit le petit à seulement 26 ans. On lui prédirait presque une fin de carrière à la Abou Diaby.
3. Il n'a marqué que 63 buts cette saison
L'année dernière, Messi avait scoré à 82 reprises toutes compétitions confondues. Aujourd'hui, le natif de Rosario n'a collé que 63 caramels. Proportionnellement, c'est 25 % de buts en moins. A ce rythme là, Leo va finir par rentrer dans le rang et rejoindre les joueurs normaux. Heureusement, les défenses gruyères et les plots de la Liga lui permettront encore de maintenir l'illusion pendant quelques temps. 63 buts... Tremble Léo, André-Pierre arrive.
4. Le Barça n'est toujours pas champion, une honte
Les Barcelonais possèdent 13 points d'avance sur le Real Madrid. C'est beaucoup, mais pas suffisant pour être déjà champion alors que les vrais grands clubs, à l'image de Manchester et du Bayern, eux, le sont déjà. Et dans des championnats autrement plus relevés que la Liga. Donc forcément, si les Catalans ne sont pas déjà sacrés, c'est que le joueur génétiquement modifié n'a pas fait correctement son boulot. Alors qu'il évolue, doit-on le rappeler, dans "le meilleur collectif du monde". Escroc.
5. La mode est aux allemands, pas aux nabots latins
Et oui, le football allemand est de retour au très haut niveau, alors que l'Angleterre s'écroule et que l'Italie stagne. Et encore une fois, il ne comptent pas laisser grand chose sur son passage. Face aux panzers d'outre-Rhin, Messi en a fait la dure l'expérience sans que les Munichois n'aient eu besoin de le découper, en plus. On avait même l'impression de voir un enfant débarquer sur un terrain de séniors. A la limite ce qui peut sauver Leo, c'est sa nationalité argentine, un pays qui a toujours entretenu de bonnes relations avec les Germains.
6. Personne n'osera plus jamais lui donner un ballon d'or après l'attentat visuel de son costume à pois
Peut-être l'argument le plus pertinent de cette liste. Comment peut-on décemment permettre à un homme de se présenter à une cérémonie de remise des prix dans un costume aussi improbable qu'une bonne émission d'Arthur ? D'une, c'est moche. De deux, c'est très moche et de trois, c'est carrément rédhibitoire à ce niveau. Dans certains pays, on condamne pour moins que ça. Exit le ballon d'or, à jamais.
7. Il ne sera jamais champion du monde en 2014
L'Argentine, c'est comme les Pays-Bas. Une équipe avec des fous-furieux devant, des promesses plein la tête avant chaque compétition et des éliminations précoces. Difficile pour un joueur, aussi futuriste soit-il, de perdurer en tête du Ballon d'Or sans gagner la moindre Coupe du Monde. Même pas une Copa America au palmarès, rien. Et ce n'est certainement pas avec la défense de chèvres que se tractent les Argentins que ça va changer. Surtout pas au Brésil en 2014.
8. Les contrôles anti-dopages sont de plus en plus pointus
Il va bien finir par tomber un jour ou l'autre. Messi est, comme Lance en son temps pour le cyclisme, l'homme qui a tué le football par ses statistiques toutes plus suspectes les unes que les autres. C'est simple, pendant quatre ans, le gars ne s'est jamais blessé et a empilé les buts et les trophées à ne plus savoir quoi en faire. Inhumain. Quoi de plus normal pour un mec dont on a "autorisé le dopage" pour se soigner ? La vérité finira forcément par éclater. Cours Léo, cours.
9. Il a perdu le respect de ses pairs
Même Florian Marange, remplaçant à Bordeaux, y est allé de sa petite pique sur Lionel Messi en dénonçant sec : "Comment ça se fait que lui soit comme ça ? Même Cristiano (Ronaldo) est un très bon joueur, même Zidane. Zidane à la Juve, il avait des passages où il était moins bien, au Real Madrid pareil. Messi n’a que 25 ans, à chaque match il marque des buts, à chaque match il est bon, il n’est jamais blessé. C’est assez impressionnant. Alors, je me demande s’il n’est pas dopé ou s’il n’a pas quelque chose." Si Florian Marange se permet ce genre de commentaires, comment ce sera quand Barton se chargera du cas de l'Argentin ? Un carnage. A un moment, il faut savoir partir.
10. Il est de plus en plus proche de la retraite
C'est un fait, Lionel Messi vieillit à chaque jour qui passe. Il se rapproche de ce fait inexorablement de la retraite. Donc de la fin de sa carrière. Donc de la fin de son règne. CQFD.
Si vous n'êtes pas convaincus après ça, c'est que vous êtes durs en affaires. Ou plutôt raisonnables. Sinon on regardera le match retour, principalement pour le voir lui. Oui, on n'est pas à une contradiction près.

Transfert : le Barça prépare un plan de reconstruction !

Par Romain Rigaux -

Humilié par le Bayern Munich en Ligue des Champions, le FC Barcelone semble avoir pris conscience des limites de son effectif actuel. Les Blaugrana auraient donc décidé de se montrer très ambitieux durant le mercato estival avec six recrues attendues.

L'effectif du Barça sera renforcé cet été

La cuisante défaite subie face au Bayern Munich (4-0) en demi-finale aller de la Ligue des Champions a laissé des traces du côté du FC Barcelone. Cet épisode aurait décidé les Blaugrana à opérer un recrutement très ambitieux lors du prochain mercato. Le club catalan aurait en effet pris conscience que si son effectif actuel lui permettait de survoler le championnat espagnol, il était en revanche trop léger pour jouer en même temps la victoire en Ligue des Champions.

Selon le quotidien El Mundo Deportivo, six recrues seraient du coup espérées cet été du côté de la Catalogne ! Si le Barça refuse de parler de fin de cycle, cette arrivée massive de nouveaux joueurs est tout de même le signe d'un changement important. Avec le départ déjà annoncé de Victor Valdés, les dirigeants barcelonais se sont mis en quête d'un nouveau gardien depuis plusieurs semaines. Les noms de Pepe Reina (Liverpool), David De Gea (Man Utd),Vicente Guaita (Valence) ou encore Samir Handanovic (Inter Milan) sont évoqués.

Deux milieux et deux attaquants souhaités

Pas vraiment rassurant cette saison, le secteur défensif attend également un renfort. Un défenseur central est attendu et la piste du Parisien Thiago Silva est évoquée par Sport (voir ici). Mats Hummels (Dortmund), David Luiz (Chelsea), Daniel Agger (Liverpool) et Inigo Martínez (Real Sociedad) sont également sur les tablettes catalanes. Au milieu de terrain, deux recrues sont souhaitées pour faire souffler plus souvent le trio Xavi-Busquets-Iniesta, qui n'a pas fait le poids face aux Bavarois.

Deux éléments supplémentaires seraient également attendus en attaque. Sans un Lionel Messi en forme, le Barça peine à marquer et cela doit changer. La priorité serait de faire venir Neymar (Santos) dès cet été, alors que le Brésilien semble vouloir rejoindre l'Europe seulement après le Mondial 2014. En revanche, David Villa et Alexis Sanchez devraient être poussés vers la sortie, leur rendement ne convenant visiblement pas aux Blaugrana.

Selon vous, quels postes devraient renforcer le Barça en priorité cet été ? Pour en débattre, rendez-vous ci-dessous dans l'espace «Publiez un commentaire» ...

Barcelone: Handanovic serait dans le collimateur du FC Barcelone pour remplacer Victor Valdès ?

(Maxppp)

Débarqué à l'Inter Milan en juillet dernier en provenance de l'Udinese, Samir Handanovic pourrait en repartir en juillet prochain. En effet, selon Sky Sport 24, le gardien de but international slovène serait dans le collimateur du FC Barcelone, vraisemblablement décidé à laisser Victor Valdés filer sous d'autres cieux avant la fin de son contrat, programmée pour l'été 2014. Arrivée en Lombardie pour 6 millions d'euros, Handanovic pourrait, à 28 ans, en repartir contre un peu moins de 30 millions d'euros.

Vilanova confirmé à son poste

 

   Par Benoît Conta

Vice-président du Barça, Josep Maria Bertomeu a confirmé jeudi que Tito Vilanova serait bien l’entraîneur du club la saison prochaine. Le dirigeant a par ailleurs nié toute fin de cycle au sein du club catalan. 

Pas de révolution de palais au Barça. Si le club catalan a subi une sévère humiliation, mardi, en s’inclinant 4-0 face au Bayern Munich, pas question de céder à la panique. Vice-président du club, Josep Maria Bertomeu a ainsi confirmé que Tito Vilanova n’était pas menacé. "Il entraînera le Barça l'an prochain, a lancé le dirigeant, sur Catalunya Radio. Nous croyons en lui. Ce n'était pas facile d'assurer la transition et il l'a très bien fait."

Arrivé cet été à la place de Pep Guardiola, dont il était l’adjoint, Tito Vilanova avait notamment signé des débuts presque parfaits, avec un record de points accumulés sur la phase aller de Liga (55 sur 57 possibles). Une dynamique que le Barça n’a pas pu continuer, notamment en l’absence du technicien, retenu à New York du 20 janvier au 26 mars, pour soigner sa tumeur à la glande parotide. Depuis janvier, le Barça n’a d’ailleurs remporté que 57% de ses matches, avec en point d’orgue l’humiliation munichoise.

Pas question pour autant de parler de fin de cycle. "Ce n'est pas la fin d'une ère. Il y a une structure, une continuité. Ce n'est pas comme en 2009, quand neuf joueurs sont arrivés. Là, c'était la fin d'une ère, mais maintenant nous une base de joueurs, et il y aura peu de changements. Je ne peux imaginer un Barça sans Messi, Xavi, Iniesta, Piqué, Busquets..., lance Bertomeu, alors que le club devrait toutefois chercher à recruter. Certains postes devraient être renforcés. C’est la vie d’une équipe. L’effectif en a besoin."

Ligue des Champions : l'Allemagne au paradis, l'Espagne croit au miracle.

 La revue de presse...Par Nicolas Lagavardan - Actu Champion's League,

Les clubs allemands ont marqué les esprits cette semaine, en matant leurs concurrents espagnols en demi-finale aller de la Ligue des Champions. La presse germanique est aux anges tandis que son homologue ibérique veut encore croire l'exploit possible...

La presse est unanime sur la performance de R. Lewandowski

L'Allemagne a pris le pouvoir en Europe cette semaine, avec les brillantes victoires du Bayern Munich face au FC Barcelone (4-0) mardi et du Borussia Dortmund face au Real Madrid (4-1) mercredi, en demi-finales aller de la Ligue des Champions. La presse d'outre-Rhin est aux anges.

La presse allemande jubile

«Après le Bayern, Dortmund déroule à son tour. L'Allemagne en pleine ivresse dans cette Ligue des Champions, l'Espagne à terre» , écrit le journal Bild. «Buteur à quatre reprises, Lewandowski projette Dortmund en plein bonheur. Le buteur a écrit l'histoire» , félicite Die Welt.

«La seconde demi-finale aller a tourné au show Lewandowski» , embraye le Frankfurter Allgemeine Zeitung. L'attaquant polonais a marqué les esprits avec son quadruplé. Il «a tout fait pour qu'il y ait une finale 100% allemande en Ligue des champions» , constate Tagesspiegel. Si les matchs retour s'annoncent en effet comme de simples formalités pour les deux clubs allemands, la presse espagnole veut toutefois croire au miracle madrilène.

L'Espagne veut y croire

Le quotidien As titre «Opération 3-0» et rappelle que «le Real a déjà remonté un 4-1 face à Derby County en 1975» . Si Marca constate le «désastre du Real Madrid» , la supériorité allemande ( «Bundes 8-1 Liga» ) et souligne la performance exceptionnelle de Lewandowski, l'autre quotidien de la capitale s'appuie lui aussi sur les propos de José Mourinho après la rencontre, pour croire encore aux chances madrilènes.

La presse catalane se veut moins optimiste. «Madrid tombe lui aussi» , titre le journal Sport, tandis qu'El Mundo Deportivo estime que «le Borussia a enterré quasi toute chance pour le Real de remporter une dixième» Ligue des Champions...

Quel est votre sentiment après la victoire de Dortmund sur Madrid ? Pour en débattre, rendez-vous ci-dessous dans l'espace «Publiez un commentaire»...

Man. United - Une offre de 75 M€ pour Ronaldo ?

RMC Sport | 

Visiblement peu pressé de prolonger son contrat au Real Madrid, qui s’achève en juin 2015, Cristiano Ronaldo pourrait effectuer son grand retour à Manchester United cet été. Selon The Sun, le club mancunien pourrait faire une offre de 75 millions d’euros pour s’attacher les services de Cristiano Ronaldo, qui a porté le maillot rouge entre 2003 et 2009. 

Les champions d’Angleterre auraient à leur disposition une enveloppe de 60 millions d’euros pour recruter, mais comptent sur la vente de certains éléments (Rooney, Nani, Anderson, Hernandez) pour augmenter cette somme.

Bayern - Barça : Sous le choc, la presse espagnole évoque la fin d'un cycle...

Par Romain Rigaux -

La défaite concédée par le FC Barcelone sur la pelouse du Bayern Munich en demi-finales aller de la Ligue des Champions (4-0) ne laisse plus vraiment d'espoir en Espagne. La presse espagnole affiche une profonde tristesse en évoquant la soirée cauchemardesque des Blaugrana, même si l'arbitrage est pointé du doigt.

Messi n'a pas existé face au Bayern

C'est comme si l'Espagne avait déjà fait une croix sur la participation du FC Barcelone à la finale de la Ligue des Champions après la défaite concédée face au Bayern Munich (4-0) en demi-finale aller. Si les Blaugrana semblaient pouvoir renverser des montagnes ces dernières saisons, l'optimisme n'est plus au rendez-vous et Wembley semble s'être définitivement éloigné.

«Une raclée historique»

La presse espagnole n'a en effet plus vraiment d'espoir pour les hommes de Tito Vilanova et Marca titre : «Une raclée historique» . Si le quotidien catalan Sport évoque «La nuit la plus triste» , As se montre plus pessimiste et annonce «La fin d'un cycle» . Un sentiment également partagé par Marca qui indique que le Barça a subi «une débâcle qui enterre la dream team» .

Incapables d'inquiéter Manuel Neuer durant 90 minutes, les Blaugrana ont affiché un visage inquiétant et aucun joueur n'a semblé capable de prendre le relais d'un Lionel Messi fantomatique et clairement à court de rythme. Pour Marca, la titularisation de la Pulga a été «une erreur car il a été transparent tout le match» . Sans critiquer l'Argentin, la presse espagnole s'interroge sur l'absence de prise de responsabilité dans le jeu de la part des autres cadres de l'équipe.

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Xavi - «lorsque vous êtes faibles...»

Les médias ibériques ont toutefois tenu à pointer du doigt l'arbitrage de la rencontre et estiment que trois des quatre buts bavarois n'étaient pas valables. L'Espagne reconnaît tout de même la supériorité des Allemands. «Les erreurs arbitrales mises à part, le Barça a raté son match et le Bayern a largement mérité sa victoire» , indique El Mundo Deportivo.

«Lorsque vous êtes faibles en UEFA Champions League, c'est ce qui arrive. Il reste maintenant 90 minutes à jouer. Revenir semble pratiquement impossible et nous allons devoir accomplir un miracle à domicile» , a lâché Xavi après la rencontre. Preuve que même dans les rangs catalans, on n'ose pas vraiment croire à un renversement de situation au Camp Nou....

Et vous, que pensez-vous de cette défaite du Barça ? Pour en débattre, rendez-vous ci-dessous dans l'espace «Publiez un commentaire» ...

Barça : un jeu "démodé" pour Larqué

Régulièrement mis en avant ces dernières années, le jeu du FC Barcelone a affiché ses limites avec un Lionel Messi diminué face au Bayern Munich (4-0), mardi en demi-finale aller de la Ligue des Champions. Pour Jean-Michel Larqué, le jeu barcelonais est même devenu dépassé. "Au-delà du résultat et de la domination des Bavarois, c'est fou comme un football, qui a été avant-gardiste pendant des années, devient d'un seul coup totalement démodé. On a vu avec le Bayern, une autre façon de jouer. L'impuissance du Barça était incroyable. Ils ont tiré à peine une fois au but, c'est ahurissant. Il est difficile de parler de simple accident pour le Barça après cette défaite. Il y avait eu des signes avant-coureurs", a expliqué l'ancien Stéphanois sur RMC. (Par Romain Rigaux)

Mario Götze transféré au Bayern Munich: un montant de 37 millions d'euros?

Par LEXPRESS.fr

Le Bayern Munich a recruté mardi l'attaquant du Borussia Dortmund Mario Götze. Le montant n'a pas été dévoilé officiellement mais il s'agirait d'un des plus gros transfert de l'histoire en Allemagne. 

L'attaquant du Borussia Dortmund Mario Götze évoluera au Bayern Munich à partir du 1er juillet. Selon le quotidien allemand Bild le montant du transfert atteindrait 37 millions d'euros.

REUTERS/Marcelo del Pozo

Déjà champion d'Allemagne et encore qualifié en Champions League, le Bayern Munich affiche déjà ses ambitions pour l'année prochaine. Le club bavarois a en effet débauché une des plus fines gachettes de son rival, le Borussia Dortmund, pour un montant quasi record. 

"Le Bayern Munich s'est mis d'accord avec l'international Mario Götze pour qu'il évolue au Bayern Munich à partir du 1er juillet 2013, explique le géant bavarois, précisant qu'il "s'engage à répondre à la clause de transfert existant entre Dortmund et Götze". 

Le contrat de Götze avec Dortmund court jusqu'en 2016. L'annonce du transfert est tombée avant la demi-finale aller de C1 entre le Bayern et Barcelone, mardi soir à Munich, et à la veille de l'autre demi-finale opposant Dortmund au Real Madrid dans la Ruhr.  

Un des plus gros transferts de Bundesliga

Dortmund avait auparavant annoncé que Götze voulait utiliser sa clause de sortie" pour "s'engager au Bayern Munich au premier juillet" dans son communiqué, confirmant partiellement une information du quotidien allemand Bild parue quelques heures plus tôt, selon lequel le joueur quitterait la formation de la Ruhr pour un montant de 37 millions d'euros. Si le montant est confirmé, il s'agirait du plus gros transfert en Allemagne après celui de l'attaquant Mario Gomez de Stuttgart au Bayern en 2009. 

Le club bavarois détient également le record du plus gros transfert de Bundesliga après avoir attiré l'été dernier l'international espagnol Javi Martinez pour 40 millions d'euros. 

Formé au Borussia, qu'il a intégré à 8 ans, Götze, né à Memmingen en Bavière, a participé aux deux titres nationaux de Dortmund (2011 et 2012) et au succès du club en Coupe d'Allemagne en 2012. 

Un joueur très convoité

Considéré comme un prodige, l'international a très tôt suscité l'intérêt des plus grands clubs. En 2011, Alex Ferguson, entraîneur du club anglais de Manchester United, l'avait supervisé. Arsenal était prêt de son côté à payer 40 millions d'euros pour le faire venir à Londres tandis que le Bayern lorgnait déjà sur ce joueur petit gabarit (1,76 m pour 64 kg). 

Cette annonce de transfert est la deuxième grosse opération cette saison du Bayern Munich qui a annoncé l'arrivée de Pep Guardiola, ancien entraîneur multi-couronné du Barça en juillet prochain."Nous sommes naturellement extrêmement déçus, mais nous soulignons que tant Mario que son agent ont agi conformément au contrat", a déclaré Hans-Joachim Watzke, président du Borussia Dortmund, dans le communiqué. 

Le club a par ailleurs demandé "à tous les supporters du Borussia d'encourager sans réserve Mario Götze, comme tous les autres professionnels de Dortmund, lors des derniers matches de la saison, notamment lors de la demi-finale de Ligue des champions contre le Real Madrid" mercredi soir.  

Avec

Ligue des Champions : et si Guardiola était devenu l'ennemi du Barça ?

Par Pierre-Damien Lacourte

Avec 14 titres remportés sur 19 possibles, Josep Guardiola a laissé une trace indélébile de son passage sur le banc du FC Barcelone. Mais le technicien catalan sera la saison prochaine l'entraîneur du Bayern Munich. L'adversaire du Barça en demi-finale de la Ligue des Champions...

Le choc Bayern-Barça, un casse-tête pour Guardiola ?

Entraîneur du FC Barcelone de 2008 à 2012, Josep Guardiola aura marqué à tout jamais l'histoire du FC Barcelone en menant le club catalan au succès dans 14 compétitions, sur un total de 19 disputées. Sous ses ordres, le Barça est peut-être devenu la meilleure équipe de tous les temps.

Depuis quelques jours, on reparle beaucoup de Guardiola en Catalogne. Non pas parce que les Blaugrana s'apprêtent à remporter une nouvelle Liga, sans lui, mais parce que le Barça affronte ce mardi le Bayern Munich à l'occasion des demi-finales aller de la Ligue des Champions. Le Bayern Munich que dirigera Guardiola la saison prochaine.

Tous les moyens sont bons pour battre le Barça pour Beckenbauer

Alors, les dirigeants bavarois ont-ils contacté leur futur technicien dans le but d'obtenir quelques précieux conseils pour faire chuter l'ogre catalan ? C'est presque une insulte pour Jupp Heynckes que de penser cela. «Appeler Pep ? Je n'ai jamais demandé conseil à un autre entraîneur avant d'affronter une équipe. Je vous prie de respecter mon travail», s'est emporté l'entraîneur, pour quelques semaines encore, du Bayern.

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Si le directeur sportif du club bavarois, Matthias Sammer, se voit mal demander conseil à Guardiola («Pep a Barcelone dans son coeur. On ne va pas lui imposer cette contrainte morale de divulguer des infos sur son grand amour»), Franz Beckenbauer n'y voit pour sa part aucun inconvénient. Bien au contraire.

«Il connaît parfaitement les joueurs du Barça, des choses qu'on ne voit pas à la vidéo, quelques petits tuyaux, et c'est très important pour mettre toutes les chances de notre côté», avoue le président d'honneur du Bayern. Il y a fort à parier qu'au moins certains dirigeants munichois ont appelé Guardiola pour lui demander de «trahir» l'amour de sa vie...

Pensez-vous que Guardiola ait pu donner des tuyaux au Bayern pour battre le Barça ? N'hésitez pas à réagir dans la rubrique Commentaires ci-dessous.

Appel à volontaires assez fous pour prendre un aller simple pour Mars

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  AFP/NASA/JPL /Caltech/MSSS / AFP/Archives - Mars One, société hollandaise à but non-lucratif, a invité lundi des volontaires à soumettre leur candidature pour un aller simple vers la planète rouge en 2022, …plus 

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Mars One, société hollandaise à but non-lucratif, a invité lundi des volontaires à soumettre leur candidature pour un aller simple vers la planète rouge en 2022, où ils seront filmés en format téléréalité, a-t-elle annoncé lors d'une conférence de presse à New York.

Le non-retour réduit considérablement le coût de la mission dont la première, avec quatre astronautes, est estimée à six milliards de dollars, ont expliqué sans sourcilier les responsables de Mars One.
Tout le monde peut être candidat, la seule condition est d'avoir au moins 18 ans et de parler suffisamment bien anglais.
Les principales qualités attendues des candidats sont "leur capacité d'adaptation, la ténacité, la créativité et la compréhension des autres", a souligné Norbert Kraft, le directeur médical de Mars One.
Les quatre premiers volontaires devraient se poser sur Mars en 2023 après un voyage de sept mois. Leur arrivée et leurs premiers pas pour tenter d'établir une colonie sur la planète rouge donnera lieu à une émission de télé-réalité, a expliqué Bas Lansdorp, fondateur de Mars One lors de la conférence de presse.
Mars One a déjà reçu "10.000 courriers électroniques de personnes venant de plus de cent différents pays qui sont intéressées pour cette mission", a-t-il dit.
Au total, Mars One recherche 24 volontaires ou six groupes de quatre qui effectueront le trajet en aller simple à deux ans d'intervalle, le premier devant partir en 2022.
Mars One compte sur la couverture médiatique du projet pour lever des fonds et en financer une bonne partie.
"A la différence de la couverture télévisée des jeux Olympiques, Mars One entend maintenir l'intérêt des médias mondiaux durablement depuis la sélection des astronautes, leur entraînement, le lancement et l'arrivée sur Mars", a expliqué Bas Lansdorp.
Ce projet fait de nombreux sceptiques mais a néanmoins reçu le soutien du lauréat néerlandais du Nobel de physique en 1999, Gerard't Hooft, présent à la conférence de presse.
Jusqu'à présent il n'y a eu que des missions robotiques sur Mars, toutes menées avec succès par la Nasa, la dernière en date de 2,5 milliards de dollars étant celle de Curiosity qui s'est posé sur la planète rouge en août 2012.
Le projet de Mars One fait face à de nombreux obstacles. Outre l'incapacité de revenir sur la Terre pour les astronautes, ces derniers devront vivre dans de petits habitats, trouver de l'eau, produire leur oxygène et cultiver leur propre nourriture.
Or Mars est un grand désert dont l'atmosphère est surtout constituée de dioxyde de carbone et où la température moyenne est de - 63 degrés celsius.
Les astronautes devront aussi subir des radiations cosmiques dangereuses pendant leur voyage.
Enfin, il n'existe pas encore de fusée et de capsule pour transporter ces volontaires.

Lahm : "Le Barça plus faible sans Messi"

Lundi 22 avril 2013 - 15:17
Présent en conférence de presse ce lundi, Philip Lahm s'est dit confiant sur les chances du Bayern Munich face au Barça en demi-finales de la Ligue des champions. "Barcelone a été l'équipe à battre ces dernières années et nous devons le reconnaître. Je pense que nous avons une bonne chance de gagner et ce sera notre objectif demain. Nous avons beaucoup de joueurs qui savent ce qu'il faut faire pour gagner. Ce sera important d'obtenir un résultat positif à domicile", a avancé le capitaine allemand, "ravi d'avoir atteint les demi-finales". "C'est à nous maintenant de faire un pas de plus et de jouer la finale. Peu importe la qualité de l'adversaire", a-t-il ajouté, conscient que la présence ou non de Lionel Messi sera un facteur déterminant. "Bien sûr, ils sont plus faibles sans (Lionel) Messi, nous l'avons vu contre le PSG. Nous espérons qu'il ne jouera pas demain", a ajouté Lahm, dont les propos ont été relayés sur le site officiel de l'UEFA.

En savoir plus: http://www.sport.fr/football/ligue-des-champions-lahm-le-barca-plus-faible-sans-messi-306910.shtm#ixzz2RCiD6R1T

Transferts : Löw pour remplacer Wenger ?

De notre partenaire Foot123

A en croire la presse britannique, Joachim Löw pourrait devenir le prochain entraîneur d'Arsenal en 2014, le contrat d'Arsène Wenger arrivant à son terme. Selon les informations du Times, Joachim Löw, actuellement à la tête de la Nationalmannschaft, pourrait prendre la succession d'Arsène Wenger à Arsenal, au terme de la prochaine Coupe du monde. Le technicien français, qui n'a rien gagné depuis 2005 avec les Gunners, et qui arrive à la fin de son contrat au mois de juin 2014, sait donc ce qu'il lui reste à faire la saison prochaine, pour, éventuellement, poursuivre l'aventure londonienne.

Finaliste de l'Euro 2008 et demi-finaliste du Mondial 2010 et du dernier Euro, Löw, également annoncé du côté de Chelsea ou du Real Madrid, serait intéressé à l'idée de retrouver un club à l'issue de son contrat avec la Fédération allemande, assure le journal britannique.

Arsenal Transfert : Joachim Löw pour remplacer Arsène Wenger ? Publié par Thieffry Nicolas, le 22 avril 2013 Vous avez lu cet article Top Flop Arsène Wenger Avec une nouvelle saison sans trophée, l'avenir d'Arsène Wenger à Arsenal est de plus en plus compromis. Pour le remplacer, les dirigeants des Gunners ont coché le nom de Joachim Löw. Si Arsenal réalise une bonne fin de saison avec de bonnes chances d'accrocher une place en Ligue des champions, l'avenir de son historique entraîneur Arsène Wenger reste flou. Si les dirigeants des Gunners ont conscience de tout ce qu'a apporté au club le technicien alsacien depuis 1996, l'absence de titres depuis 2005 (et une victoire en coupe d'Angleterre) commence à jouer en sa défaveur. En fin de contrat en juin 2014, Arsène Wenger est suivi de près par le Paris Saint-Germain. Vous aimez nos contenus ? Dites à vos amis sur Facebook que vous aimez Gentside Sport Selon le journal britannique, The Times, les dirigeants d'Arsenal seraient en train de préparer la succession de l'entraîneur français. Et c'est l'actuel sélectionneur allemand, Joachim Löw, dont le contrat se termine en 2014 après la Coupe du monde au Brésil, qui figure en tête de la short-list des Gunners. Une réaction Arsène ? Oui.

En savoir plus: http://www.chronofoot.com/arsenal-transfert/arsenal-transfert-joachim-low-pour-remplacer-arsene-wenger_art38240.html
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Bayern-Barcelone: Heynckes a "un plan" anti-Messi

"On a un plan" pour contrecarrer le jeu de Barcelone avec Messi, a déclaré lundi Jupp Heynckes, le coach du Bayern Munich, persuadé que le Ballon d'Or a été préservé en championnat pour débuter la demi-finale aller de C1, mardi (20h45) à l'Allianz Arena. | Par Christof Stache 

"On a un plan" pour contrecarrer le jeu de Barcelone avec Messi, a déclaré lundi Jupp Heynckes, le coach du Bayern Munich, persuadé que le Ballon d'Or a été préservé en championnat pour débuter la demi-finale aller de C1, mardi (20h45) à l'Allianz Arena.

Q: Pensez-vous que Messi va jouer et avez-vous un plan anti-Messi ?
R: "J'ai lu dans la presse que Messi s'était entraîné normalement et je pense qu'il débutera le match.

(Bluff de le préserver en Liga samedi ?) Non. il avait vraiment un problème musculaire, sinon il aurait joué samedi. C'était une mesure de précaution pour bien jouer demain. On a un plan de jeu. Comme contre la Juve, qui jouait avec 3 milieux de terrain, on a une idée claire sur la manière de jouer. On trouvera une solution. Mais le Barça n'est pas que Messi. Ils ont de nombreux super joueurs. Comme Inesta, qui a été joueur européen de l'année deux fois, Piqué, Puyol, même s'il ne joue pas. Ils savent comment jouer en haut niveau. C'est à ça que l'on se prépare. Car on a aussi ce niveau là".
Q: L'aspect physique sera-t-il décisif ?
R: "Bien sur que cela joue un rôle. Mais le le concept de jeu est plus important. On a été capable de combiner les deux cette saison. Mais le Barça est aussi fort physiquement".
Q: Pensez-vous avoir bien tout programmé pour cette rencontre ?
R: "En football, on peut programmer des tas de choses, préparer de nombreux aspects de jeu, mais la spontanéité est très importante avant le match et à la pause. Il faut sentir l'ambiance et trouver les bons mots dans le vestiaire".
Q: Mandzukic suspendu, qui de Gomez et Pizarro va jouer en pointe ?
R: "J'ai deux super joueurs: le joueur étranger avec la plus grande réussite en Bundesliga (Pizarro) et Gomez, qui a inscrit 12 buts en C1 la saison dernière en tournant au rythme de Gerd Müller. Je dois m'entretenir avec eux aujourd'hui et on verra".
Q: Comment pensez-vous que le Barça va gérer les absences notamment de Puyol, en défense centrale?
R: "J'ai lu que Abidal avait joué son premier match entier samedi. Je suis très heureux après ce qui lui est arrivé. C'est un super joueur et une bonne personne, capable de tenir ce rôle. Mais je ne pense pas que cela ait une grande importance (de savoir) qui joue en défense. L'important est notre concept du jeu pour les affronter".
Q: Comment gérez-vous le passage de témoin avec Guardiola et l'idée de possibles conseils ?
R: "J'admire Pep pour sa carrière de joueur puis de manager. On a une très bonne relation. Et le tirage n'affectera pas ça. (Obtenir des infos) Moi j'ai répondu que c'était une question de respect. Pour la relation de Pep avec le Barça et parce que je n'en ai pas besoin. Je connais le football espagnol, je connais le Barça et je connais très bien mon équipe".
Q: Comment expliquer en un mot la super saison du Bayern ?
R: "Le travail d'équipe!"
Q: Quel résultat vous satisferait avant le match retour ?
R: "L'important est que l'équipe soit en confiance et concentrée sur notre jeu. Je pense que Barcelone est capable de marquer ici mais le Bayern est capable de marquer un ou plusieurs buts là-bas. On verra ce qui se passe demain sur la pelouse. Logiquement, c'est mieux de ne pas encaisser de but. Il faut être très attentif à tout moment du match".

Le pape François veut davantage de souplesse dans le gouvernement de l'Eglise

Le pape François, devant les cardinaux et les hauts dignitaires de l'Eglise, place Saint-Pierre à Rome, le 19 mars 2013

REUTERS/Stefano Rellandini

La réforme de la Curie est sur les rails. Le 13 avril, un mois jour pour jour après son élection, le pape François a annoncé la création d’une commission de huit cardinaux. Cet organe consultatif doit piloter la réflexion pour rendre le gouvernement de l’Eglise plus souple et moins centralisé. Un véritable défi en ce début de pontificat. Un chantier immense, que beaucoup appelaient de leurs vœux.

Avec notre correspondant au Vatican, Olivier Bonnel
Cette réforme de la Curie était particulièrement attendue. On sait que Benoît XVI s’est retiré en partie en raison du poids des « affaires », ces scandales qui l’ont touché directement, comme Vatileaks et que la Curie a été incapable d’endiguer pour le protéger. Cette Curie qui était devenue un obstacle pour le pape allemand, qui, par caractère avait fini par renoncer à toute réforme.
La période de pré-conclave a permis de mettre en lumière l’urgence de changer le gouvernement de l’Eglise. C’est ce que les cardinaux, venus du monde entier à Rome sont venus dire lors des congrégations générales, des cardinaux à la tête de diocèse où l’ont est parfois très éloigné des réalités administratives romaines. L’idée est aussi que le pape ne soit pas trop isolé, prisonnier de son palais apostolique romain. En 2007, Le cardinal belge Godfried Daneels, électeur aux deux derniers conclaves, se disait convaincu qu’il fallait rassembler autour du pape, un conseil composé de personnalités de l’Église provenant de différents pays, afin qu’il soit sûr de pouvoir mesurer la température de l’Église. Une idée de plus en plus partagée ces derniers temps.
La composition de cette commission cardinalice est déjà un premier indicateur des changements voulus par le pape.
Lla vraie nouveauté est là et porte déjà le sceau du pape François, qui a choisi des hommes de terrain, et dont l’expérience locale semble parfois à des années-lumière des arcanes du Vatican. Des réformateurs que le pape est allé chercher sur les 5 continents : Sont présents, un Chilien, un Indien, un allemand ou encore un Congolais. On y retrouve des figures, comme le cardinal Sean O’Malley de Boston, dont ont avait beaucoup parlé avant le conclave et qui n’a pas hésité à faire la transparence sur les scandales de pédophilie dans son diocèse. Le pape a également choisi, pour diriger ce groupe de réflexion le cardinal Oscar Maradiaga du Honduras, secrétaire général de la Caritas et apprécié des milieux réformiste. Exit donc les ténors de la Curie, souvent italiens, et qui pendant des années ont tissé des réseaux de pouvoir et d’allégeance. Seule concession, la présence de l’Italien Giuseppe Bertello ancien nonce au Mexique et qui est président du gouvernorat de la cité du Vatican. Un prélat jugé honnête et inflexible qui avait mis de l’ordre dans le scandale des Légionnaires du Christ, ce mouvement dont le fondateur était un pédophile.
Les chantiers prioritaires de cette rénovation
Les chantiers ne manquent pas et sont ambitieux. Concrètement, il s’agit d’abord de modifier la Constitution apostolique Pastor Bonus, promulgué en 1988 par Jean-Paul II et qui traite de l’architecture et du fonctionnement de la Curie romaine, un texte aujourd’hui obsolète. La tâche principale sera de diminuer le pouvoir de la toute-puissante secrétairerie d’état, qui depuis longtemps fait de l’ombre aux dicastères, qui sont en quelque sorte les ministères du Vatican. Il s’agit aussi de renouveler la collégialité, de faciliter le travail entre ces dicastères, jusqu’ici très autonomes, et de favoriser un lien plus direct entre le pape et les évêques. Reste à savoir bien sûr quelles seront les relations entre ces huit cardinaux et la Curie, où assurément certains ne se laisseront pas si facilement rogner les ailes. Le chantier sera long, c’est une certitude. La première réunion de ce groupe des « sages » est prévue du 1er au 3 octobre prochain.

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