samedi 27 avril 2013

Top 10 des signes qui montrent que la fin du règne de Messi, c’est maintenant

Messi sur le déclin
credit photo : Ryu Voelkel
L'Argentin a livré l'un de ses plus mauvais matchs de sa carrière en demi-finale de la Ligue des Champions à Munich. Cadavérique et transparent, Lionel Messi n'a rien réussi. Du coup, on s'est évidemment dit que c'était la fin d'un règne, celui du Barça et de son génie. Ca sent le sapin footballistiquement parlant pour l'OGM le plus connu de l'histoire et on a des preuves, pleines de mauvaise foi...
1. Il ne porte plus son équipe à bout de bras comme "avant"
Contre le PSG ou le Bayern, Messi n'a pas vraiment pesé avec un unique pion en trois matchs. D'accord, c'est son entrée au retour contre Paris qui change la donne. Mais si on réfléchit bien, c'est surtout la fatigue des Parisiens et la peur de gagner qui ont permis aux Barcelonais de passer, nuance. Quand Messi tousse, c'est toute la Catalogne qui s'enrhume.
2. Le physique ne tient plus
Intouchable pendant quatre ans, l'Argentin semble cette fois-ci amoché pour de bon. La preuve, depuis sa blessure au Parc contre le PSG, Messi n'avait joué que trente petites minutes lors du match retour au Camp Nou, une gageure. Et contre le Bayern, on ne peut pas vraiment comptabiliser sa prestation, tant il a été invisible. Un signe qui ne trompe pas, il est cuit le petit à seulement 26 ans. On lui prédirait presque une fin de carrière à la Abou Diaby.
3. Il n'a marqué que 63 buts cette saison
L'année dernière, Messi avait scoré à 82 reprises toutes compétitions confondues. Aujourd'hui, le natif de Rosario n'a collé que 63 caramels. Proportionnellement, c'est 25 % de buts en moins. A ce rythme là, Leo va finir par rentrer dans le rang et rejoindre les joueurs normaux. Heureusement, les défenses gruyères et les plots de la Liga lui permettront encore de maintenir l'illusion pendant quelques temps. 63 buts... Tremble Léo, André-Pierre arrive.
4. Le Barça n'est toujours pas champion, une honte
Les Barcelonais possèdent 13 points d'avance sur le Real Madrid. C'est beaucoup, mais pas suffisant pour être déjà champion alors que les vrais grands clubs, à l'image de Manchester et du Bayern, eux, le sont déjà. Et dans des championnats autrement plus relevés que la Liga. Donc forcément, si les Catalans ne sont pas déjà sacrés, c'est que le joueur génétiquement modifié n'a pas fait correctement son boulot. Alors qu'il évolue, doit-on le rappeler, dans "le meilleur collectif du monde". Escroc.
5. La mode est aux allemands, pas aux nabots latins
Et oui, le football allemand est de retour au très haut niveau, alors que l'Angleterre s'écroule et que l'Italie stagne. Et encore une fois, il ne comptent pas laisser grand chose sur son passage. Face aux panzers d'outre-Rhin, Messi en a fait la dure l'expérience sans que les Munichois n'aient eu besoin de le découper, en plus. On avait même l'impression de voir un enfant débarquer sur un terrain de séniors. A la limite ce qui peut sauver Leo, c'est sa nationalité argentine, un pays qui a toujours entretenu de bonnes relations avec les Germains.
6. Personne n'osera plus jamais lui donner un ballon d'or après l'attentat visuel de son costume à pois
Peut-être l'argument le plus pertinent de cette liste. Comment peut-on décemment permettre à un homme de se présenter à une cérémonie de remise des prix dans un costume aussi improbable qu'une bonne émission d'Arthur ? D'une, c'est moche. De deux, c'est très moche et de trois, c'est carrément rédhibitoire à ce niveau. Dans certains pays, on condamne pour moins que ça. Exit le ballon d'or, à jamais.
7. Il ne sera jamais champion du monde en 2014
L'Argentine, c'est comme les Pays-Bas. Une équipe avec des fous-furieux devant, des promesses plein la tête avant chaque compétition et des éliminations précoces. Difficile pour un joueur, aussi futuriste soit-il, de perdurer en tête du Ballon d'Or sans gagner la moindre Coupe du Monde. Même pas une Copa America au palmarès, rien. Et ce n'est certainement pas avec la défense de chèvres que se tractent les Argentins que ça va changer. Surtout pas au Brésil en 2014.
8. Les contrôles anti-dopages sont de plus en plus pointus
Il va bien finir par tomber un jour ou l'autre. Messi est, comme Lance en son temps pour le cyclisme, l'homme qui a tué le football par ses statistiques toutes plus suspectes les unes que les autres. C'est simple, pendant quatre ans, le gars ne s'est jamais blessé et a empilé les buts et les trophées à ne plus savoir quoi en faire. Inhumain. Quoi de plus normal pour un mec dont on a "autorisé le dopage" pour se soigner ? La vérité finira forcément par éclater. Cours Léo, cours.
9. Il a perdu le respect de ses pairs
Même Florian Marange, remplaçant à Bordeaux, y est allé de sa petite pique sur Lionel Messi en dénonçant sec : "Comment ça se fait que lui soit comme ça ? Même Cristiano (Ronaldo) est un très bon joueur, même Zidane. Zidane à la Juve, il avait des passages où il était moins bien, au Real Madrid pareil. Messi n’a que 25 ans, à chaque match il marque des buts, à chaque match il est bon, il n’est jamais blessé. C’est assez impressionnant. Alors, je me demande s’il n’est pas dopé ou s’il n’a pas quelque chose." Si Florian Marange se permet ce genre de commentaires, comment ce sera quand Barton se chargera du cas de l'Argentin ? Un carnage. A un moment, il faut savoir partir.
10. Il est de plus en plus proche de la retraite
C'est un fait, Lionel Messi vieillit à chaque jour qui passe. Il se rapproche de ce fait inexorablement de la retraite. Donc de la fin de sa carrière. Donc de la fin de son règne. CQFD.
Si vous n'êtes pas convaincus après ça, c'est que vous êtes durs en affaires. Ou plutôt raisonnables. Sinon on regardera le match retour, principalement pour le voir lui. Oui, on n'est pas à une contradiction près.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

  Windows 11 : le patch de septembre corrige 79 failles de sécurité, installez vite la mise à jour ! Antoine Barsacq ,  Depuis quelques ...