La prochaine tournée en Afrique d’Obama: un coûteux voyage de 100 millions de dollars
Le président Obama quitte la Maison Blanche en hélicoptère, le 12 juin 2013.
REUTERS/Gary Cameron
Le coût du prochain voyage de Barack Obama en Afrique a
provoqué une controverse: les frais de sa visite dans trois pays,
Sénégal, Tanzanie et Afrique du sud pourraient en effet s’élever à 100
millions de dollars. A l’origine, le programme comprenait un safari,
mais après une enquête lancée par le Washington Post, ce rendez-vous a été supprimé de l'agenda présidentiel.
Avec notre correspondant à Washington, Jean-Louis Pourtet
Lorsque Barack Obama se déplace, cela coûte cher au contribuable américain. Selon le Washington Post, sa prochaine visite en Afrique pourrait coûter jusqu’à 100 millions de dollars. Cela comprend le transport de plus de 50 véhicules, dont 14 limousines officielles, la présence d’avions et de navires militaires, et le déploiement de dizaines d’agents du secret service chargés d’assurer la protection du président et de sa famille qui va l’accompagner.
A l’origine, le programme comprenait un safari, mais quand le Washington Post a commencé à enquêter sur le prix du voyage, cet événement a été supprimé. Il aurait, de plus requis la présence d’agents munis de fusils de grande précision pour neutraliser tout animal sauvage qui tenterait d’attaquer le président. Obama, à la place, se rendra à Robben Island, l’île où fut emprisonné Nelson Mandela.
Face aux critiques de cette onéreuse tournée, le conseiller Ben Rhodes a déclaré que le président n’allait pas ignorer un continent pour des questions d’argent, ajoutant que même pour 100 millions, c’était une bonne affaire car l’Afrique avait une économie en pleine croissance, une population jeune, et qu’elle contribuait aux côtés des Etats-Unis à la lutte antiterroriste.
Lorsque Barack Obama se déplace, cela coûte cher au contribuable américain. Selon le Washington Post, sa prochaine visite en Afrique pourrait coûter jusqu’à 100 millions de dollars. Cela comprend le transport de plus de 50 véhicules, dont 14 limousines officielles, la présence d’avions et de navires militaires, et le déploiement de dizaines d’agents du secret service chargés d’assurer la protection du président et de sa famille qui va l’accompagner.
A l’origine, le programme comprenait un safari, mais quand le Washington Post a commencé à enquêter sur le prix du voyage, cet événement a été supprimé. Il aurait, de plus requis la présence d’agents munis de fusils de grande précision pour neutraliser tout animal sauvage qui tenterait d’attaquer le président. Obama, à la place, se rendra à Robben Island, l’île où fut emprisonné Nelson Mandela.
Face aux critiques de cette onéreuse tournée, le conseiller Ben Rhodes a déclaré que le président n’allait pas ignorer un continent pour des questions d’argent, ajoutant que même pour 100 millions, c’était une bonne affaire car l’Afrique avait une économie en pleine croissance, une population jeune, et qu’elle contribuait aux côtés des Etats-Unis à la lutte antiterroriste.
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